Les irrégularités constatées en cardiologie à Metz ne seraient pas isolées.

Les huîtres périclitent. Et les ostréiculteurs ne sont pas tous innocents...

Le flux d'immigrants a baissé à la frontière américaine notamment en raison du renforcement des contrôles. Mais les voies empruntées sont plus dangereuses. Résultat : les décès grimpent en flèche.

Cancers, maladies cardio-vasculaires, infections respiratoires... Les causes de mortalité évoluent. Désormais, ce sont les pathologies chroniques, dégénératives, non transmissibles, qui ont pris le pas sur les pathologies infectieuses. Mais, surtout, on finit par succomber à une combinaison d'affections.

Le nombre de morts est corrélé au nombre d'automobiles par habitant, quel que soit le pays. Cette formule se vérifie jusqu'à un certain point.

Le nombre des morts à la guerre est égal à un pour cent du nombre total de décès ; les deux Guerres mondiales ont été responsables de 60 pour cent de ces morts, dénombrés entre 1820 et 1950. De telles statistiques peuvent-elles aider à prévoir (et à prévenir) les conflits meurtriers ?

Selon l'Organisation mondiale de la santé (OMS), la mortalité due au paludisme régresse. Comment expliquer ce succès ?

Notre espèce a modifié les contraintes évolutives qui ont toujours limité son espérance de vie. Les Etats devront prendre en compte les nouveaux besoins d'une population plus agée que naguère.

Un lien aurait été établi entre les taux de quatre biomarqueurs sanguins de personnes bien portantes et leur survie à cinq ans. Pas si simple.

Ces dernières semaines, les médias ont relayé plusieurs cas de patients décédés sur un brancard aux urgences. un phénomène difficile à quantifier, mais qui suscite une indignation d'autant plus justifiée qu'il est, selon bien des soignants, évitable.