Mauvais coups, rumeurs et escarmouches. Derrière les rideaux de Bastille et de Garnier, la CGT et SUD s'affrontent. Mélodrame de la vie, à la mort, à l'approche des élections professionnelles du 17 mars 2016.

Du 26 février au 6 mars 2016, le Centre Pompidou, à Paris, en association avec l'Opéra de Paris, présente une chorégraphie comme une exposition, l'occasion d'une conversation avec la danseuse et chorégraphe Anne Teresa de Keersmaeker sur sa pièce Work/Travail/Arbeid et sur les remises en cause qu'un tel geste peut susciter, tant dans sa pratique que dans celle de l'institution muséale.

Evaluer un service public consiste notamment à s'assurer que la contribution financière de l'Etat - 96 millions d'euros en 2014 pour un budget total de 200 millions d'euros dans le cas de l'Opéra de Paris - a été utilisée de façon optimale. Cette évaluation doit également permettre de vérifier que l'institution a atteint ses objectifs et que les bénéfices de ce service public pour la société sont supérieurs aux coûts de production.

Il fut une étoile du New York City Ballet, a dirigé une compagnie à Los Angeles, partage sa vie avec la star hollywoodienne Natalie Portman. Autant dire que Benjamin Millepied n'avait pas le pedigree classique pour mener la danse à l'Opéra de Paris. A la veille de dévoiler son programme, il se sait donc attendu. Mais ne confie qu'une priorité : les danseurs. Un ballet dont quinze étoiles ont bien voulu se prêter pour "M" au jeu de la séance photo.

Danseuse étoile à la carrière éblouissante, elle est la nouvelle directrice de la danse à l'Opéra de Paris après la parenthèse Millepied. Le bon choix de Stéphane Lissner.

Le danseur étoile, chorégraphe du film "Black Swan" et époux de l'actrice Natalie Portman, désire remettre les créations contemporaines au centre du ballet de l'Opéra de Paris.

Le XVIIIe siècle finissant trompait son ennui par une chasse effrénée du plaisir. Les jeunes beautés de l'Opéra de Paris monnayaient leurs charmes et conseillaient la reine Marie-Antoinette sur ses robes de bal...

Oeuvre d'un inconnu de 35 ans, Charles Garnier, le théâtre lyrique est d'un conception révolutionnaire : pour la première fois, ce sont les spectateurs et surtout les spectatrices qui sont mis en valeur par un agencement exceptionnel.

Les lustres conçus par Charles Garnier pour le Grand Foyer de l'Opéra de Paris viennent d'être réinstallés. Ils ont retrouvé leur éclat entre les mains expertes des spécialistes de la lustrerie Mathieu, installée dans une ancienne ocrerie de la région d'Apt.