Avec son faste blingbling et son obsession pour le bien-être, la capitale bavaroise rappelle, par certains aspects, Los Angeles. Ce magazine s’est amusé à comparer les deux villes, lors d’une promenade à Munich.

La cité phocéenne a eu beau se rénover, se réinventer, elle traîne toujours une mauvaise réputation. Jugée tantôt dangereuse, tantôt anarchique, elle mérite pourtant bien plus que ces a priori, affirme ce journaliste anglais.

Sur la Costa Blanca, la Mecque du tourisme de masse espagnol a choisi un développement fait de tours et de gratte-ciel. Les résidents à l’année ne s’en plaignent pas. Au contraire, selon ce reportage d’"El Pais Semanal".

La question du genre – des genres – est partout. Sur les écrans dans les questions d’actualité et les débats de société, sur les murs de nos villes où fleurissent les messages des colleuses et colleurs, dans nos cadres professionnels, dans nos foyers. Et aussi, depuis de très nombreuses années, dans les publications et les colloques sur l’aménagement et l’urbanisme. A la revue « Urbanisme », nous n’avons donc eu aucune peine à nous convaincre que mettre la thématique des genres à l’agenda de nos publications était plus qu’un bon choix éditorial : une vraie nécessité.

Rencontré la veille de l'attribution du prix Renaudot à son roman "Performance", Simon Liberati nous a livré sa vision des villes d'hier et d'aujourd'hui, qu'il compare à des palimpsestes, à l'image de ses propres écrits.

Les Romains en avaient fait un pont sur la Seine, Clovis, le premier, y établit le siège de son royaume. Mais l’envol décisif vient des Parisiens eux-mêmes, en particulier des marchands, qui, au XIe-XIIe siècle, placent le fleuve au coeur de l’économie de la ville et la connectent aux réseaux d’échanges européens. L'interview des historiens Boris Bove et Claude Gauvard contient également les encarts intitulés "Les 7 figures qui ont compté" , "Genèse d'une capitale" et de nombreuses cartes.

Dès le XIIIe siècle, Paris devient la ville la plus peuplée d’Occident – et le restera jusqu’au XVIIe siècle. Difficile d’imaginer les difficultés que cela représente pour une cité médiévale dépourvue des fonctionnalités modernes. Comment loger, nourrir, évacuer les déchets de 250 000 Parisiens ? Nombre de solutions ont été mises en oeuvre : les autorités, roi, abbés, évêque, et surtout municipalité, à qui incombe l’approvisionnement ou la circulation sur la Seine, édictent des règlements. Ainsi, sur les ordures, qui doivent être apportées à l’extérieur des murailles.

Face à l'afflux de population, les villes se sont développées et ont dû se structurer. L'article se conclut par un focus intitulé "De l'art urbain au génie métropolitain".