Norman Mailer a toujours aimé les confrontations avec les grandes figures emblématiques de l'histoire du vingtième siècle.

En écrivant à la première personne "L'Evangile selon le fils", l'écrivain a choqué la presse et les lecteurs américains. Il explique ici ce qu'était son singulier projet.

A l'occasion de la sortie de son livre "Oswald, un mystère américain" (Plon), le grand romancier s'entretient avec Pete Bagley, l'homme qui enquêta pour la CIA sur les liens entre Oswald et le KGB...

L'Europe du Nord et les Etats-Unis représentent les bastions de deux styles opposés : laconique d'un côté, convulsif de l'autre.

Le géant des lettres américaines, qui n'avait rien publié depuis dix ans, raconte, dans "Un château en forêt", l'enfance du Frher. C'est consternant.

Norman Mailer, dans "Le chant du bourreau", a immortalisé Gary Gilmore, criminel américain qui a demandé lui-même la peine de mort. Le scandale mystérieux d'un homme devenu assassin.