Olga Rudenko est la rédactrice en chef du Kyiv Independent, le média ukrainien le plus influent depuis le début de la guerre dans le pays. Elle se confie au "Point".

Journaliste intransigeant, il a parcouru le monde pour en dévoiler les faces cachées. Au risque de déplaire, ce prince des reporters a su mettre en lumière le destin des opprimés, des exclus – bagnards, fous, colonisés.

Au début des années 2010, de jeunes journalistes et communicants créent un groupe privé sur Facebook et se défoulent sur Twitter. Jusqu'à harceler leurs adversaires et sombrer dans le sexisme et l'homophobie.

En 1968, notre hebdomadaire se rangeait du côté des manifestants et des grévistes. Et la contestation gagnait la rédaction. En complément, l'album des lecteurs.

Composé de journalistes israéliens et palestiniens, le site d'informations +972 poursuit le dialogue à l'heure où chacun est sommé de choisir son camp. Reportage en Israël.

Le journaliste de 44 ans s’est vu confier, en 2022, les manettes de "La Grande librairie", sur France 5. Une consécration qui, au-delà de la revanche sur un passé traumatique, s’inscrit dans la mission pour la défense du livre et de la lecture que ce normalien agrégé d’anglais s’est assignée.

À l'heure où les professionnels des médias sont bien souvent sommés de choisir leur camp au nom d'un patriotisme dévoyé, "Jeune Afrique" vous propose le portrait de femmes et d'hommes qui tentent, malgré la pression et les menaces, de faire bouger les lignes.

Contraints au départ pour la majorité d'entre eux, les journalistes de Novaïa Gazeta, titre phare de la presse indépendante russe, ouvrent des bureaux en Europe. Seule façon de faire entendre une voix opposée à la guerre.

Compagnon de route de "Marianne", notre collaborateur s'est éteint le 26 janvier. Homme de conviction, il ne se contentait pas de commenter l'actualité économique mais savait utiliser son esprit de synthèse pour faire oeuvre de pédagogie. L'hommage se poursuit celui de Jean-Pierre Chevènement.

Reporter pour le journal russe Novaïa Gazeta, la journaliste ne peut plus retourner en Russie depuis ses reportages sur l’invasion de l’Ukraine en 2022. Dans son livre "Russie, mon pays bien-aimé", elle mêle reportages et récits personnels pour tenter de comprendre comment la Russie est devenue fasciste.