Les causes de la hausse des prix dans le monde sont multiples. Les solutions ne sont pas toujours efficaces. L'article se poursuit par des focus sur le rôle de l'inflation au cours de l'histoire.

L’œuvre de l’anthropologue et militant anarchiste américain David Graeber jette une lumière neuve sur le déficit démocratique qui affecte nos sociétés. En cause : la dimension économique de la démocratie.

Les deux économistes analysent la nouvelle donne post-covid liée à la guerre en Ukraine, marquée par une insuffisance généralisée d’offre.

Pour enrayer la spirale inflationniste en faisant face aux nouvelles dépenses requises, il n’y aura pas d’autre choix que d’augmenter les impôts

Quel peut donc bien être le problème ? Lorsque la Chine a commencé à prendre part à l’économie mondiale en 1978, elle a connu la croissance la plus spectaculaire de l’histoire. Sa réforme agricole, son industrialisation et la hausse des revenus de sa population ont permis à près de 800 millions de personnes de sortir de l’extrême pauvreté. Alors que la production chinoise représentait un dixième de la production américaine en 1980, elle en atteint aujourd’hui les trois quarts.

Avec le protectionnisme, les subventions et le surcroît de réglementation, les gouvernements abandonnent les principes qui ont fait la richesse du monde. Détails. Pas de chiffres.

Comment les super-riches d’aujourd’hui gouvernent des pays, fixent les programmes politiques – et prospèrent en période de troubles.

La présidente de la BCE évoque sa courbe d’apprentissage abrupte, les chocs passés et à venir – et nous invite à respirer profondément.

À la COP28 de Dubaï comme à l’intérieur de leurs frontières, Paris et Bruxelles défendent l’idée d’une « croissance verte », formule magique censée réconcilier l’économie capitaliste et l’écologie autour de quelques mantras : développement durable, technologies écologiques, finance écoresponsable ou encore économie circulaire – autant d’oxymores apparents sur lesquels se penche ce numéro du "1 hebdo", pour mieux en comprendre les ressorts et les objectifs. Cette « croissance verte », pourrait-elle nous permettre d’éviter la catastrophe sans bousculer nos modes de vie ?