Le soleil ne se couchait jamais sur l’empire français, mais c’est aux portes de Paris que le Jardin d’essai colonial fut créé en 1899 pour accroître la production dans les colonies.

Le guerrier, d’hier comme d’aujourd’hui, doit combattre l’ennemi et affronter l’attente. Son équipement en témoigne, avec grandeur et, parfois, avec trivialité.

A Copenhague, les Hansen réunissent, entre 1916 et 1918, une collection d’oeuvres dans laquelle le peintre français tient une place de choix.

On connaît l’apport italien à la cour de France… On oublie pourtant que François Ier sut aussi profiter du grand foyer artistique flamand !

En pleine guerre froide, un danseur passe à l’Ouest. Son « saut vers la liberté », le 16 juin 1961, défie Moscou et redore l’image d’un Occident fragilisé par le succès de Gagarine et le fiasco cubain. Pourtant, lui ne revendique rien d’autre que de vivre pour son art.

Cela va faire un siècle que s’est ouvert, dans le 7e arrondissement de Paris, le plus célèbre des commerces arméniens de la capitale, un temple dédié au plus singulier des aliments...

L’Orangerie fait la part belle à l’oeuvre de ce maître incontesté – puis répudié – des dadaïstes et autres surréalistes.

Le lundi 11 novembre 1940, à la barbe de l’occupant, des milliers d’étudiants et de lycéens manifestent devant l’arc de Triomphe. Leur acte de courage aura été, selon l’écrivain Jean Guéhenno, « la première manifestation publique de la Résistance » en France.

Partir en exploration le long de cette voie ferrée mythique, c’est parcourir l’histoire du Paris populaire et découvrir des havres de verdure et des lieux conviviaux qui reprennent vie.

Le musée d'Orsay consacre James Tissot (1836-1902), peintre méconnu, ami de Degas, qui conquit l'Angleterre et inspira Scorsese.

Au musée Guimet, à Paris, l'art de l'estampe culmine au sommet du mont Fuji.

A la Fondation Louis-Vuitton, la rétrospective consacrée à l'artiste caméléon Cindy Sherman nous plonge dans un vertigineux bal masqué.