Les faits sont connus : au sommet du corps social, à la pointe de la pyramide des revenus, au cœur des beaux quartiers et dans les alcôves des lieux de pouvoir, une petite bande de grands fortunés se met super bien. Sur le dos du reste de l’humanité, et aux dépens de l’habitabilité de la planète, doit-on s’empresser d’ajouter. Cette infime minorité de privilégiés, plutôt douée pour duper son monde sur les questions écologiques ou pour se ménager des portes de sortie, ne saurait cependant perdurer et prospérer sans toute la valetaille disposée à servir ses intérêts.

La plupart des cocottes de la Belle Epoque sont mortes dans l’oubli. Pas Jeanne Toussaint, une créatrice surdouée qui s’est maintenue plus de quarante ans au firmament du luxe parisien.

Au début des années 1960, le rock et le twist déferlent dans l’Hexagone. Une brèche musicale dans le socle de la France gaullienne, qui réveille les baby-boomers.

Comme chaque 8 mars, les bonnes intentions des politiques sont de sortie. Après la déflagration Baupin en mai 2016, tous l'ont d'ailleurs crié sur les toits : "Sexisme, pas mon genre." Vraiment ? Dans les couloirs feutrés du Parlement, les femmes dénoncent pourtant un immobilisme tenace. Et un terrain toujours plus propice au harcèlement.

Depuis 2015, cette jeune fille vit sur la ligne de front de la guerre du Donbass. Elle est, avec sa grand-mère et sa copine Marina, l'une des dernières habitantes d'un quartier ravagé par les combats.

Aujourd'hui, un adulte sur sept est tatoué en France, et cette proportion ne cesse de grimper. Pourtant, même si la pratique se banalise, et devient de plus en plus esthétique et hygiénique, un tatouage ne se fait pas à la légère...