Capturée par l’Etat islamique en 2014, cette jeune Yézidie a été de nombreuses fois violée, vendue et violentée par les djihadistes. Aujourd’hui elle est libre, mais brisée. Un récit glaçant.

Les attaques entre l’Iran et Israël d’avril 2024 sont le point d’orgue d’une guerre multiforme entre les deux pays, qui a commencé dans les années 1970 et qui n’est pas prête de se terminer.

Cinquante ans avant l'attaque terroriste du Hamas, Israël était pris au dépourvu par une offensive conjointe de l'Égypte et de la Syrie sur ses frontières le 6 octobre 1973. Une agression surprise à laquelle l'actualité fait un écho dramatique, mais avec de radicales différences.

Dans l’Antiquité, les séismes touchaient déjà régulièrement la région du Proche-Orient. L’Empire romain tentait tant bien que mal de venir en aide aux sinistrés.

L’arrivée aux affaires d’un nouveau gouvernement israélien, supposé plus conciliant, avait suscité un mince espoir. Il a été vite douché par l’avènement du président iranien ultraconservateur, relate l’intellectuel libanais Hazem Saghieh dans le quotidien "Asharq Al-Awsat". Pour conclure l'analyse de l'intellectuel, "Courrier International" propose une revue de presse suite à l'arrivée au pouvoir d'Ebrahim Raïssi à la tête de l'Etat iranien intitulée "Les défis qui attendent le président iranien".

Téhéran a promis de riposter au raid aérien sur l’ambassade iranienne en Syrie, imputé à l’État hébreu. Ce qui fait craindre aux experts interrogés par le magazine américain "Foreign Policy" une conflagration régionale.

Riche de centaines de sites sacrés, le royaume hachémite parie sur le tourisme religieux pour doper son économie.

En 1920, des militaires britanniques découvrent en Syrie une ville gréco-romaine ornée de fresques exceptionnellement conservées.

Depuis la fin de la guerre froide, l'Iran s'était posé en leader d'une coalition anti-impérialiste au Proche-Orient. Or l'affaiblissement de Téhéran rebat les cartes de la géopolitique régionale. La fin de la dictature à Damas quinze ans après les "printemps arabes" ravive l'espoir des peuples dont les aspirations à la justice sociale n'ont pas été satisfaites et que l'écrasement de Gaza révolte.