Des siècles d’attente et de préparatifs sont nécessaires aux armées musulmanes pour s’emparer de la capitale de l’Empire byzantin. C’était il y a 570 ans…

Le 6 février 2023, la terre a tremblé avec une rare violence dans le sud de la Turquie et le nord-ouest de la Syrie, dans une région déjà impactée par la guerre civile syrienne et la question kurde. Pour le seul côté turc, le nombre de morts atteint 50 000 personnes, tandis que les dégâts matériels sont estimés à plus de 100 milliards de dollars. Au-delà de la tragédie humaine, la catastrophe révèle la corruption des régimes en place et souligne des enjeux géopolitiques.

Il y a cinq ans, l'État islamique, longtemps l'organisation terroriste la plus puissante - et la plus riche - au monde, était vaincu par les Forces démocratiques syriennes soutenues par une coalition internationale. Depuis, en Irak et en Syrie, des habitants arpentent les déserts et les rues encore éventrées des villes, pelle et détecteur de métaux à la main, à la recherche d'un butin dont personne ne sait s'il existe vraiment : le trésor de Daech.

Cinq ans après la chute de l'État islamique en Syrie, le groupe connaît une résurgence fulgurante dans le nord-est du pays. Le recul des forces américaines, ciblées par l'Iran, ouvre la voie au retour de la terreur imposée par l'organisation djihadiste.

Depuis la fin de juillet 2024, le conflit opposant l’État hébreu au Hamas et à ses alliés s’est traduit par une multiplication de frappes et d’assassinats en Iran et au Liban. Les risques d’une guerre régionale n’ont jamais été aussi grands. Sommaire. Le Hamas tombe aux mains de Yahya Sinwar. Israël. Le choix du pire. Les États-Unis jouent les pompiers. Des civils “sur les nerfs”.

Les Égyptiens sont appelés aux urnes du 10 au 12 décembre 2023 pour élire leur président. En l’absence de tout candidat d’opposition, le scrutin s’annonce sans surprise. D’autant que le régime utilise l’instabilité régionale à son profit.

"Des jours difficiles en perspective", voilà comment le Premier ministre israélien met en garde ses concitoyens. Depuis le 7 octobre 2023, avec sa stratégie belliciste, il assure son avenir politique et même judiciaire. Quitte à enflammer la situation à Gaza et à embraser toute la région. En conclusion de l'article, l'analyse de l'historien Amnon Raz-Krakotzkin qui déclare : "L'armée est devenue plus religieuse, cela n'aide pas" et l'article intitulé "Le Premier ministre doublé par sa droite".

Majoritairement druze, la population syrienne de ce plateau stratégique, occupé depuis 1967 et annexé illégalement en 1981 par l’État hébreu, est bousculée par la politique d’"israélisation" du territoire. Une histoire longue racontée par ce journal libanais.