Conçu pour démocratiser l'épargne immobilière auprès des Français et faire concurrence aux fonds étrangers, le dispositif OPCI répondra-t-il aux attentes ?

Les conseillers indépendants tirent profit de la gueule de bois post-crise.

Zoom, en septembre 2010, sur le marché français de l'assurance vie sur lequel la crise économique n'aura eu un impact que de courte durée, la part des flux financiers des ménages affectée à l'assurance vie étant passée de 51,8% en 2008 à 72,8% en 2009. Un engouement des Français qui continue à privilégier les grands classiques, comme par exemple les supports en euros, au détriment des contrats en unités de compte. La situation pourrait cependant évoluer avec la baisse des taux d'intérêt qui ne permet plus aux compagnies d'assurance de verser des taux aussi attractifs qu'avant.

Futures, Forex, actions, brokers, levier. Apparu en France au début des années 2000, le day trading permet aux investisseurs particuliers de prendre des positions à très court terme depuis chez eux, en passant simplement par une plateforme de courtage. Si ce mode d'investissement peut apparaître comme un moyen simple et rapide de gagner de l'argent, il constitue dans 90% des cas un piège pour néophytes.

Présentation, fin 2010, du cabinet de conseil français spécialisé dans l'élaboration de stratégies et d'outils de développement durable Utopies, qui milite pour une utilisation verte et transparente de l'épargne. Alors que le gros de l'épargne géré par les banques et organismes financiers est investi dans des secteurs sales (pétrole, construction, etc.), le produit de l'épargne pourrait être utilisé pour financer les technologies vertes. Explications, avec quelques précisions sur l'impact carbone des placements financiers.

Lumière, en mars 2011, sur la part minoritaire estimée à un tiers du marché français, représentée par les particuliers, malgré leur intérêt croissant pour l'investissement socialement responsable (ISR). Une série d'obstacles continue de les freiner, et le principal problème demeure l'accessibilité des fonds ISR dans les réseaux de distribution. Un problème d'accessibilité qui perdure malgré l'élargissement de la palette des placements proposés par les banques (des OPCVM à l'assurance-vie en passant par l'épargne salariale). Quelques données chiffrées sur le marché de français de l'ISR.

Lumière, en avril 2011, sur l'essor des investissements socialement responsables (ISR) verts, en France : accès à l'eau potable, diffusion de nouvelles énergies, préservation environnementale, etc. Mais les souscripteurs, qu'ils soient institutionnels ou particuliers, montrent encore de la méfiance à l'égard de ces produits financiers atypiques, parfois peu transparents. En attendant l'adoption de normes et de réglementations spécifiques qui devraient populariser davantage ces innovations, la diversification des instruments se poursuit de manière séduisante.

Décryptage, en juin 2011, de l'engouement des particuliers pour le marché des changes (ou FOReign EXchange - Forex), alors qu'environ 4000 milliards de dollars s'échangent chaque jour dans le monde, et que les courtiers en ligne proposent au grand public une gamme toujours plus large de produits financiers. Le trading sur le marché des changes obtient aujourd'hui les faveurs des investisseurs particuliers, portés par l'espérance de gains rapides et aisés grâce aux importants effets de levier mis à disposition. Mais les opérations sur devises ne sont pas plus accessibles que les actions.

Lumière, fin 2012, sur les atouts des fonds flexibles pour les particuliers investisseurs en Bourse, dans un contexte inquiétant de manque de visibilité sur les marchés financiers. Ces fonds flexibles laissent davantage de liberté aux gérants pour adapter leurs choix aux fluctuations des marchés. En jonglant sur différentes classes d'actifs, ils peuvent se montrer plus réactifs que des fonds classiques. Si le principe est séduisant, la mise en oeuvre est délicate. Tous les fonds flexibles ne sont pas aussi performants, et l'exercice comporte des risques à ne pas négliger.

Pour ouvrir une librairie, un café ou un restaurant de quartier, certains petits entrepreneurs américains font appel à l'épargne de leurs futurs clients. Quelques exemples.

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