Dibbouk yiddish et zombi des Caraïbes : le musée d'Art et d'Histoire du judaïsme et le Quai Branly à Paris sont partis sur les traces de ces morts intranquilles revenus parmi les vivants 140 pour perturber l'ordre du monde. Deux propositions crépusculaires pour s'interroger sur ce que ces disparus au passé trouble, omniprésents au cinéma, disent de nos maux contemporains.

Depuis longtemps, les humains imaginent la vie sur d'autres planètes. Ils inventent des histoires de science-fiction qui les font rêver...

Attention ! Des créatures effrayantes sont prêtes à surgir des pages de ce numéro de "Virgule" ! Monstres protéiformes, ogres voraces, vampires séduisants et sorcières laides à faire tourner de l’œil un crapaud borgne… tandis que le jour décline, ils sont tous là, venus dénoncer nos vilains défauts et nous aider à affronter nos peurs. Car, si depuis l’Antiquité ils hantent les œuvres littéraires et nous donnent la chair de poule, c'est parce qu’ils ont des choses à nous dire. Alors un conseil : gardons notre sang-froid, rangeons nos gousses d’ail et laissons-leur la parole.

La Corée du Nord est réputée pour être un pays où toute pratique religieuse a été éradiquée. Si, en effet, les grandes religions traditionnelles – bouddhisme, christianisme catholique et protestant – ont quasiment disparu, ce n’est pas le cas d’autres formes plus anciennes. Pour diverses raisons, on assiste, en effet, à une résurgence du chamanisme, une religion où les femmes jouent un rôle central.

Les zombis existent vraiment, même s'ils sont rares ! Une exposition au musée du Quai-Branly retrace leur histoire en Haïti, et témoigne de leur succès dans l'imaginaire culturel mondial. En conclusion de l'article, l'interview de Philippe Charlier, anthropologue et commissaire de l'exposition, qui explique comment on devient un zombi en Haïti.

Nom : Mothman, une créature mi-homme, mi-insecte. Lieu : Virginie-Occidentale. Apparitions : éparses. Mythe : élevé. Taux de crédibilité : cela dépend de qui raconte l'histoire, et de qui l'écoute.

Le sud-ouest de l’Ukraine compte de nombreuses forteresses qui remontent au temps des guerres entre Turcs et Polonais. Comme celle de Jvanets, encore hantée par de multiples légendes.

Il avait déjà une réputation de meurtrier sanguinaire, qui lui a valu d'inspirer le nom du comte Dracula. D'après une équipe de chercheurs italiens, le prince roumain Vlad Dracula souffrait aussi d'une maladie qui le faisait pleurer du sang !

Elles ont toujours circulé, mais depuis la pandémie de Covid-19 leur nombre a explosé. Les croyances médicales les plus répandues résistent-elles à un examen scientifique ?

Le Québec a souvent été dépeint comme une province paisible. Les historiens d’aujourd’hui nous en livrent une image bien différente.