Si ce pays était géré comme il se doit, en cohérence avec les enjeux alimentaires de notre époque, le paysan français devrait être l'homme le plus épanoui du monde. Il n'en est rien, la guerre des prix continue de broyer toujours un peu plus cette noble profession.

Depuis les attentats de 2015, les sociétés de vigiles se sont multipliées et se livrent une féroce guerre des prix. Quitte à rogner sur les prestations.

Course à la rentabilité, déserts médicaux, pénurie de généralistes et de spécialistes... La prise en charge des patients tient souvent du parcours du combattant. Sommaire. La santé n'a pas de prix ! L'hôpital public, grand corps malade. Recherche généraliste désespérément. Agnès Buzyn : "L'hôpital-entreprise est une hérésie !" Ainsi va la (fin de) vie.

Ce qui se joue derrière la grève des cheminots.

Ouvrière dans la confection dès 12 ans pour nourrir sa famille, syndicaliste virée de son usine à 16 ans, Kalpona Akter a décidé de consacrer sa vie à se battre pour la condition ouvrière dans son pays, le Bangladesh. De passage à Paris pour commémorer les cinq ans de l'effondrement de l'usine textile Rana Plaza à Dacca, la syndicaliste de la fast fashion nous a accordé une rencontre pour raconter son combat.

Ces soignants lancent un cri d'alarme : il est temps que les hôpitaux sortent d'une logique financière poussée à l'extrême. Tous ont, à un moment ou un autre, songé à mettre fin à leurs jours. Lanceurs d'alerte face à des dysfonctionnements graves dans leurs établissements ou médecins dévoués pris dans une spirale infernale (faire toujours plus, avec toujours moins de moyens), ils racontent aujourd'hui leurs tourments à visage découvert. Sommaire. Hôpitaux en détresse. "On doit travailler toujours plus, vite et mal".

Le secrétaire général du syndicat Vigi s'est lançé dans une croisade contre le trucage des chiffres de la délinquance dans les Bouches-du-Rhône, qui dégrade les conditions de travail et pousse ses collègues au suicide. PAR aRuNo RIETH