La plaque tournante économique de la plus riche région d’Espagne est très concrètement menacée par la crise politique.

Après les élections anticipées prévues le 28 avril, Bruxelles redoute un scénario à l’italienne, avec l’extrême droite en position de force.

Annoncée il y a un an et reportée à quatre reprises, la visite de Felipe VI dans le royaume chérifien aura finalement lieu ce 13 février. Loccasion pour Mohammed VI et son homologue espagnol d'écrire un nouveau chapitre dans la longue histoire des deux maisons royales.

A trois semaines du scrutin du 26 mai 2019, le succès de la gauche espagnole redonne une bouffée d’oxygène aux sociaux-démocrates de l’Union. Même si l’euphorie n’est pas totalement de mise.

Santiago Abascal veut montrer qu’il dégage assez de testostérone pour garantir l’unité de l’Espagne face à la menace des indépendantistes catalans.

La montée de l'extrême droite, qui obtient ses premiers députés nationaux, a provoqué un regain de mobilisation à gauche. Un élan qui profite aux socialistes. A eux, maintenant, de ne pas décevoir.

Avec "Douleur et Gloire", Pedro Almodovar revisite sa propre histoire dans un geste cinématographique d'une allègre mélancolie. Evitant l'écueil de la complaisance, il met ici en scène ce qui a formé son imaginaire. Entretien.

Le cinéaste espagnol revient en compétition à Cannes avec l'un de ses plus beaux films, "Douleur et gloire". Il y parle de lui et de lui. Mais avec grâce et intelligence.

Un romancier et un photographe septuagénaires visitent, pour la première fois de leur vie, la station balnéaire la plus connue et la plus décriée d’Espagne. Et découvrent un univers parallèle peuplé de seniors venus profiter de la douceur du climat hivernal. C’était juste avant le confinement.

On connaît les films "Viridiana" et "Tristana" de Buñuel, moins l’écrivain qui les a inspirés. Et pourtant, ce contemporain de Zola est considéré comme le plus grand romancier espagnol après Cervantes. Le centenaire de sa mort est l’occasion de (re)découvrir sa vie et son oeuvre immense.

Le quotidien "El Mundo" met en cause trois Marocains, parmi lesquels de hauts responsables, dans une affaire de détournement et de blanchiment de sommes faramineuses destinées à financer des mosquées catalanes. À Rabat, on crie à la manipulation.