La République en marche a subi une lourde défaite aux municipales, constate "La Vanguardia", pour qui le président n’a plus d’autre choix que d’en passer par un remaniement. Mais attention : 2022 ne ressemblera pas forcément à 2020.

Le référendum sur la réforme constitutionnelle du 1er juillet 2020 a donné corps à une minorité politique d’opposition jusque-là amorphe, estime le chroniqueur de ce journal populaire. Et le pouvoir va devoir compter avec elle.

Le principal opposant à Vladimir Poutine a été victime d’un malaise le 20 août 2020, à la suite d’un probable empoisonnement. Cet éditorialiste russe insiste pour que toute la lumière soit faite, sans quoi son pays pourrait se retrouver "sens dessus dessous".

Victime d’une tentative d’assassinat en 2017, le principal opposant tanzanien est rentré cet été dans le pays pour défier le président John Magufuli. Ce fan de Bob Marley pense pouvoir empêcher sa réélection lors du scrutin du 28 octobre.

Rencontre avec la dessinatrice de presse tunisienne dont le personnage fétiche, Willis from Tunis, est devenu l’icône de la révolution qui a fait tomber Zine El-Abidine Ben Ali, le 14 janvier 2011.

Nullement échaudé par ses longues années de prison, l'ancien secrétaire général de la présidence espère revenir sur le devant de la scène.

Le 1er mars 2020, les électeurs seront appelés à élire leurs nouveaux députés et, surtout, à valider la réforme constitutionnel re que leur soumet Alpha Condé. A moins qu'ils ne préfèrent suivre les consignes de boycott de l'opposition.

Hollywood l'avait immortalisé dans un biopic controversé, ""Hôtel Rwanda". Il est ensuite devenu l'un des opposants les plus virulents à Paul Kagame. Retour sur l'itinéraire sinueux du héros déchu du Pays des mille collines.

Réélu le 31 octobre 2020 à l'issue d'un scrutin contesté par ses opposants, le président semble décidé à ouvrir le jeu. Cela suffira-t-il à réconcilier un pays de nouveau divisé ?

L’échec du parti d’Erdoğan aux élections locales de 2024 s’explique par l’épuisement de son idéologie islamo-nationaliste, mais aussi par la tentative des sociaux-démocrates d’occuper le centre de l’échiquier politique.

Un an après la défaite de Donald Trump, ses bouillants partisans continuent de contester le résultat de l'élection et veulent changer les lois pour faire triompher un électorat républicain blanc devenu minoritaire. Au risque d'une guerre civile ?

Comment la droite peut-elle s'opposer à un président libéral ? Ses leaders fourbissent leurs armes, y compris idéologiques. Sommaire. Baroin : "Le macronisme est une vision verticale de l'Etat, mais sans moyens...". L'"insurrection" des élus locaux. David Lisnard : "Ce pouvoir n'est pas à la hauteur de l'exigence réformiste". Jean-Louis Debré : "Deux droites sont irréconciliables".