Explications, en novembre 2010, sur la notion recouverte par l'éco-conception d'un produit et sur son impact sur les procédés de production industrielle dans le monde. Une méthode qui a pour objectif de réduire l'impact d'un produit sur l'environnement en le fabricant différemment et qui doit être basée à partir de l'analyse du cycle de vie en dégageant une dizaine d'indicateurs. L'éco-conception pourrait ainsi remettre en cause les procédés de fabrication de masse des industriels. Points abordés : une loi européenne sur tous les produits pour 2012 ?

Décryptage, en mars 2011, sur les atouts et les contraintes liées à l'intégration de la RFID, technologie aujourd'hui maîtrisée, essentiellement utilisée en interne pour la fiabilisation et la sécurisation des flux de marchandises ou des données informatique, pour les entreprises françaises, même si le retour sur investissement est difficilement quantifiable. Gain de productivité, traçabilité, fiabilité des informations, le retour sur investissement de la mise en place d'un système RFID reste difficile à mesurer en valeur, et doit en tout cas se faire sur le long terme.

Eclairage, en novembre 2011, sur la recherche de l'efficacité énergétique par les entreprises françaises, qui répond à plusieurs objectifs : réduire sa consommation et améliorer sa production alors que le coût de l'énergie et des matières premières progresse, répondre au durcissement de la législation, etc. L'éco-conception, le recyclage et la recherche-développement sont au coeur des stratégies des entreprises. A terme, l'industrie devrait pouvoir réduire ses émissions de gaz à effet de serre de 20 % d'ici 2020, avant de se lancer dans des objectifs encore plus ambitieux.

Décryptage, en juin 2015, de l'influence des nouveaux procédés à l'oeuvre dans le secteur français du packaging dont le marché représente 19,7 milliards d'euros en 2012. Pour permettre originalité et différenciation des produits dans les linéaires, la filière, en amont, intègre l'imaginaire à véhiculer par le produit à emballer pour limiter le rejet de la consommation de masse. Côté réalisation, elle se tourne vers l'imprimante 3D qui offre des prototypes obtenus rapidement, très facilement modifiables, aux coûts limités.

Issu du toyotisme, cette approche privilégie la rationalisation des actifs industriels, à l'échelle de l'entreprise ou de l'opérateur