Comment ne pas confondre islamisme et islam ? Après les attentats de Paris, commis au nom d'Allah, des voix se sont élevées pour dénoncer tout rapprochement abusif. Dans la presse internationale toutefois, des intellectuels posent la question de la modernité dans l'islam et appellent, contre l'obscurantisme, à une réforme en profondeur. En octobre 2014, dans sa "Lettre ouverte au monde musulman", le philosophe Abdennour Bidar s'interrogeait : "Qui a pu enfanter ce monstre (Daech) ?" Sa réponse : le monde musulman. Il n'y a pas qu'un seul monde musulman, lui répond ici un analyste sénégalais.

Après la diffusion, le 25 janvier 2015, d'une vidéo montrant l'exécution de l'un des deux otages japonais détenus par l'Etat islamique, la responsabilité de Shinzo Abe est pointée du doigt.

D'origine marocaine, le maire de la ville portuaire a la cote, surtout depuis ses propos anti-islamistes après les attentats de Paris.

Confrontée à la chute du rouble, à la hausse du coût de la vie et aux difficultés sociales, la population russe commence à se poser ouvertement la question.

Le meurtre de trois étudiants musulmans en Caroline du Nord, au mobile indéterminé, attise les craintes de cette communauté dans les Etats du Sud.

Le pays est sans cesse épinglé par les médias internationaux pour ses problèmes. Et pourtant, depuis son indépendance, il y a tout juste quarante-quatre ans, les progrès sociaux sont énormes.

Sidi Yahia, le quartier le plus branché d'Alger, mais aussi le plus cher, offre un cadre de vie très convoité. Une image qui tend à se dégrader.

Certes, le parti de Pablo Iglesias stagne dans les sondages et n'est plus le sujet numéro un des Espagnols. Mais ce n'est pas une raison pour paniquer, affirme ce chroniqueur de gauche.

Aux origines de la fronde contre Athènes : les pays les plus pauvres de la zone euro, dont les habitants refusent de payer pour les extravagances grecques.

Antiquité mythifiée, actualité ignorée. Ce mélange explosif aboutit, dans la crise actuelle, à une chute vertigineuse des illusions des Européens. Il explique aussi la vive amertume des Allemands envers les Grecs.

C'est parce que le pays a remis, lors de la présidentielle, le politique en majesté au travers de la personne de Nicolas Sarkozy que sa désinvolture à l'égard de la majesté du politique l'a fait chuter dans l'opinion, laissant la nation se débattre dans des tensions grosses d'incertitudes.