Art ancien et art contemporain vivent en bonne intelligence à Paris dans le quartier du Faubourg-Saint-Honoré, qui organise le 5 juin 2013 sa fameuse Nocturne.

Le Parcours des mondes s'impose, à Paris, comme le plus important rassemblement d'art tribal international, avec soixante-huit participants témoignant de la bonne santé de ce marché.

Ce plat correspond à une période très précise, comprise entre 1530 et 1540, définie par les spécialistes comme "style du potier". Les potiers d'Iznik décident à cette époque de créer leur propre style, très original.

Discret l'an dernier, l'art asiatique arrive en force pour l'édition 2015 du Parcours des mondes, dans les galeries de Saint-Germain-des-Prés.

Un sourire charmant, des yeux attentifs et une coiffure peu rassurante : cet objet à la fois joyeux et inquiétant demeure encore une énigme. D'où vient-il ? A quoi sert-il ? En tout cas il est exceptionnel, comme l'évoque Caroline Schulten, directrice du département des Arts asiatiques chez Sotheby's : "Dans les collections, on n'en connaît que deux autres similaires à visages humains, collectés comme celui-ci dans les années 1920-1930". Seule certitude, sa rareté.

Claude Monet, Francis Bacon : dans un contexte financier tourmenté, les dernières ventes aux enchères chez Christie's et Sotheby's ont vu triompher les valeurs consacrées. Serait-ce une amorce du retour à la raison que certains professionnels du secteur appellent de leurs voeux ?

L'exposition "Paris 1400" jette un coup de projecteur sur les objets d'art haute epoque. De son côté, la Biennale des antiquaires annonce une belle participation de marchands spécialistes de ce style à redécouvrir.

Il a pâti de son air de famille avec le sempiternel buffet Henri II des salles à manger d'antan. Tiré du purgatoire par une poignée de décorateurs et antiquaires de renom, le mobilier néogothique sort des greniers.

Encore peu connu, l'art indien contemporain s'est profondément renouvelé ces dernières décennies. Si certains peintres et sculpteurs se plient aux demandes du marché mondial, beaucoup développent une vision originale, plongeant dans les racines historiques du pays et pointant les tares de la société : déshumanisation, misère des paysans, condition féminine...