La réalité de l'électrosensibilité reste très débattue. Pour beaucoup d'experts, elle est sans lien avec les ondes émises par lies antennes relais, et a une origine psychosomatique. L'Agence nationale de sécurité sanitaire (Anses) doit rendre un nouvel avis. Mais les travaux d'Amandine Pelletier, physiologiste à l'université de Picardie - Jules Verne / Ineris apportent de nouvelles pistes.

Comme la téléphonie mobile, l'électricité est source de pollution électromagnétique. Mais avec des normes paradoxales, la proximité d'un transformateur n'est pas considérée comme un risque pour la santé.

Pour la première fois en France, une femme qui attribue son invalidité à une hypersensibilité aux ondes électromagnétiques s'est vu accorder une allocation adulte handicapé.

Un appel à la prudence lancé par vingt scientifiques dont David Servan-Schreiber relance le débat sur les risques liés à l'usage du téléphone mobile.

Sciences et Avenir a voulu faire le point sur les effets connus ou supposés des rayonnements électromagnétiques. Et expliquer pourquoi ce sujet reste polémique. Ses propres mesures à l'appui

Portables, micro-ondes, Wi-fi... Aujourd'hui, c'est dans un véritable bain d'ondes que chacun d'entre nous est plongé. Dans quelle proportion ? Pour la première fois, une vaste étude apporte la réponse.