Le 16 juin dernier, le télescope spatial tombait en panne. Et même si son successeur, le James-Webb, est déjà dans les starting-blocks, les ingénieurs de la Nasa n'allaient pas se résigner. Il fallait réparer. Car, nous raconte Simon Devos, Hubble peut encore faire des merveilles.

Le nouveau télescope spatial, très attendu, prendra bientôt son envol pour tenter de percer les secrets des exoplanètes, trous noirs et des galaxies lointaines.

A l'occasion de la première journée internationale de la Lumière, focus sur ces ondes qui permettent aux astronomes de raconter l'histoire du cosmos.

Prêt(e) au décollage ? Découvre les images merveilleuses fournies par les célèbres télescopes spatiaux.

Exoplanètes, lointains astéroïdes du Système solaire, galaxies surgies à l'aube de l'Univers, étude des trous noirs, des amas stellaires... : la liste des prochaines cibles choisies pour l'Extremely Large Telescope ne cesse de s'allonger. Et la promesse de découvertes offerte par le futur géant européen fait rêver l'ensemble des astronomes.

Assembler au sommet du Cerro Armazones un géant de béton, d'acier et de verre représente une entreprise sans aucun équivalent, où les hommes relèvent les défis techniques et surmontent les dangers.

Il est de vieux instruments que l'on a bien fait de maintenir opérationnels. C'est le cas du télescope de 152 cm de l'observatoire de Haute-Provence, où se teste Harmoni, un instrument polyvalent pour l'Extremely Large Telescope.

Le télescope spatial James Webb a produit un gros plan inédit de la nébuleuse de la Tête de Cheval. Le dernier épisode de la plongée toujours plus profonde des astronomes dans cet objet iconique, l'un de leurs meilleurs laboratoires interstellaires.

Le 11 juillet dernier, les premières images tirées des observations du James-Webb Space Telescope étaient révélées au grand public. Jamais l'Univers n'était apparu avec autant de profondeur et de beauté ! Les astronomes n'en reviennent toujours pas…

C'est une première dans l'histoire de la cosmologie : un télescope spatial, Euclid, va cartographier l'espace à l'échelle de la toile cosmique - la plus grande possible. Objectif : préciser l'accélération de l'expansion de l'Univers et, au passage, le rôle joué, dans ce processus, par la mystérieuse "énergie noire".

Depuis les années 1980, grâce à des satellites et de grands télescopes terrestres, les astronomes ont ouvert une nouvelle fenêtre sur le ciel en captant les rayonnements infrarouges du cosmos. Aller plus loin dans ces observations nécessite de construire des télescopes gigantesques et refroidis à ultra-basse température. Des défis qui poussent les plus téméraires à imaginer un observatoire sur la Lune. Sommaire. L’astronomie infrarouge n’est pas près de s’éteindre. Joseph Silk, astrophysicien : «Un télescope lunaire pour étudier le début de l’Univers».