Ouvrir les archives de la justice militaire : un premier bilan

Depuis plus d'un demi-siècle, José Gotovitch est au cœur de la production de l'histoire contemporaine en Belgique. Dès 1964, il participa à la création d'un Centre d'Histoire des deux Guerres mondiales devenu le Centre d'Études et de documentation Guerre et Sociétés contemporaines (CEGESOMA), qu'il dirigea de 1989 à 2004.

Bruges, Ostende et son littoral et Courtrai misent sur l'art contemporain pour porter leur image. Une belle occasion d'aller faire un tour, cet été 2018, en Belgique.

Depuis quelques années, plusieurs séries télé explorent l’univers intime des sportifs d’élite. C’est notamment le cas du documentaire intitulé "Het Scheldepeloton" ("Le Peloton de l’Escaut") diffusé à la télévision flamande. Une histoire totalement glaçante !

Que reste-t-il de la Seconde Guerre mondiale ? La| Résistance De la persécution à l'extermination : le sort tragique des Juifs et des Roms Le| > Soir, un hommage malicieux à la vraie presse (Sur)vivre en pays occupé L'| enfer de Breendonk La| collaboration en Belgique 1940-1945 Histoire de l'art : l'étonnant retour de Magritte

En littérature, les plus éminents représentants du naturalisme sont avant tout français. Ce sont les frères Goncourt puis Emile Zola qui, sans conteste, peuvent revendiquer la paternité de ce courant littéraire aussi foisonnant que sulfureux. Le naturalisme n'aurait cependant pas présenté le même visage sans la Belgian touch. Il suffit, pour s'en dissuader, de considérer le nombre d'écrivains majeurs qui l'illustrent, de Camille Lemonnier à Georges Eekhoud. Des éditeurs importants et plusieurs revues incontournables de l'époque ont servi à sa diffusion.

Après plusieurs décès dus à la consommation de drogue cet été, l’idée de généraliser les centres où l’on peut contrôler un stupéfiant avant de le consommer est remise en avant outre-Quiévrain.

Le Musée des beaux-arts de Gand consacre une grande exposition au peintre du XVIIe siècle, trop longtemps resté dans l'ombre de ses contemporains Rubens et Van Dyck.

Au cours de la décennie 1960, le libéralisme belge a été confronté à la montée des crispations communautaires entre la Flandre et la Wallonie et à des projets de réforme constitutionnelle. En tant qu'acteur politique, le Parti de la Liberté et du Progrès (PLP) a progressivement opté pour la défense d'une Belgique dite "unitaire". Une telle prise de position est inévitablement allée à l'encontre de la tradition fédéraliste ardemment défendue par une partie des libéraux liégeois proches du Mouvement wallon.