Trente-cinq ans après sa disparition, que reste-t-il de Coluche, ce clown sublime aux multiples casquettes ? Entretien avec son fils aîné, Romain Colucci, auteur avec son frère, Marius, du "Dico Coluche" (éd. Le Cherche Midi), florilège de sketchs concentrant le meilleur de l'humour de leur père.

Il s’est d’abord tenu à l’écart des thèmes politiques par crainte d’hypothéquer sa carrière, Waly Dia assume désormais pleinement ses partis pris. Pour "Politis", il revient sur son parcours, livre ses secrets d’écriture et évoque les règles qu’il s’impose dans l’exercice délicat de l’humour politique. L'interview se conclut par l'article intitulé "Eclats de rire sur France réac'".

A l'affiche du festival "Les Menuires du Rire", Florent Peyre évoque avec nous son nouveau spectacle, "Nature", et le rapport qu'il entretient avec son public grâce aux réseaux sociaux.

Dans "Anesthésie générale", qui débarque aux Folies Bergères, Jérémy Ferrari vitriole le système de santé mis à mal par le Covid. Rencontre avec un humoriste qui remplit les salles sans squatter les médias.

Visé par plusieurs poursuites judiciaires, criblé de dettes, l'humoriste a trouvé refuge au pays de son père, dans la cité balnéaire de Kribi. Loin des polémiques, il fait désormais profil bas.

Shaden Fakih, Nour Hajjar, Dany Abou Jaoude... une génération montante de stand-upeurs libanais apporte chaque soir un peu de légèreté dans un pays rongé par les tragédies, où le temps s'est arrêté en aout 2020 avec la double explosion du port de Beyrouth. Corruption, sexualité, ils s'attaquent aux tabous d'une société corsetée, dans la foulée du soulèvement populaire de 2019. Cette forme de thérapie collective séduit désormais un large public, au-delà de la seule jeunesse progressiste.

ıLe Seinfeld saoudienı parle des risques de l'humour en Arabie saoudite et raconte des blagues sur les blondes texanes.

La période électorale et les affaires remettent au goût du jour les chansonniers de toujours. Tandis qu'une nouvelle génération brouille les codes de l'humour politique à la radio et sur les réseaux sociaux.

Ni cynique ni polémique. Vincent Dedienne a réussi à imposer son art de l'autodérision, à mille lieues des professionnels de la vanne corrosive. Le 1er octobre 2017, il fera son premier Olympia, apogée d'une année qui l'a vu triompher sur scène, décrocher un Molière et cartonner en chroniqueur télévisuel. Une consécration pour ce sentimental qui assume son côté fleur bleue.

Il revient au one-man-show après sept ans d'absence. Son nouveau spectacle, "Aimez-moi", est une comédie humaine au rire parfois sombre. L'artiste, lui, se sait attendu au tournant.

Chroniqueur régulier dans l'émission "Quotidien" de Yann Barthès, le comédien marquera plus fortement encore 2018 de sa présence sur scène - dans un Marivaux et dans la reprise de son spectacle "S'il se passe quelque chose...".

Ce quotidien britannique a rencontré Yassine Belattar, humoriste symbole d’une France ouverte et talentueuse. Mais les névroses de la société ont récemment rattrapé le comique.