Dans son dernier film, "Yesterday", Danny Boyle imagine un monde dans lequel les Beatles n'auraient jamais existé !

En cette période de fêtes, le film de Noël rassemble tous les ingrédients clés dont sont friands de très nombreux spectateurs. D'année en année, le genre connaît un engouement croissant. A tel point que des chaînes telles que Hallmark ou Lifetime, connus pour leurs comédies romantiques, redoublent d'imagination pour décliner Noël à l'infini, allant jusqu'à proposer des congrès spéciaux et des produits dérivés pour les inconditionnels. Le New York Times est parti à la rencontre d'experts du secteur pour tenter d'expliquer cette frénésie du conte de Noël.

Pluvieuse et grise? Pas pour le célèbre réalisateur Richard Curtis. Connu pour ses comédies ô combien British, le cinéaste, originaire de Nouvelle Zélande, revendique sa vision édulcorée de la capitale britannique. Rendez-vous dans ses cinq lieux préférés.

Avec leur héros épris de justice et de solidarité, les films du réalisateur américain incarnent l'archétype du "feel-good movie". Ils sont pourtant le fruit d'un double paradoxe : la plupart de ces contes de fées pour adultes ont été conçus pendant la Grande Dépression. Et, loin des idéalistes qu'il portait à l'écran, Frank Capra était un pessimiste pour qui la vie n'était pas si belle.

En réponse à Hollywood, monde damné, les milieux évangélistes américains produisent des longs métrages qui prônent les valeurs chrétiennes et remportent un succès fou. Un miracle qui multiplie les billets verts.

Mehdi et Badrou, ex-Kids de France Inter, arrosent à la rentrée avec un documentaire sur la banlieue plein de fraîcheur et un livre implacable sur la violence du monde du travail.

Avec Les Beaux gosses, Riad Sattouf a signé un teen-movie français exemplaire qui illustre le regain actuel pour la banlieue comme terrain de comédies. Alors que son film et que Lascars d'Albert Pereira-Lazaro et Emmanuel Klotz débarquent en DVD, il nous donne sa version des faits.

Au milieu du siècle dernier, le cinéma français a montré un intérêt durable pour ce que déjà on n'osait à peine appeler la Belle Epoque. Cette famille de films, unie, resserrée, souvent charmante, constitue un phénomène assez singulier pour mériter une étude.

S'il a inspiré de nombreux travaux chez les historiens et les critiques d'art et de littérature, le thème de la mélancolie n'a guère retenu l'attention des spécialistes du cinéma. Ce dossier veut rompre ce silence.