L'écriture est proposée comme une méthode efficace de développement personnel, pour mieux vivre avec soi-même et avec les autres. L'auteure fournit des exemples concrets pour appliquer la méthode, des conseils d'écriture et de textes illustratifs issus de la littérature pour s'entraîner.

En s'intéressant au discours sur l'amour, celui de Freud et d'écrivains tels Baudelaire ou Bataille, l'auteur, psychanalyste, cherche à éclairer l'abîme entre les deux sexes, la contrainte pour l'homme de sa relation avec sa mère dans sa relation avec une femme ou encore l'étrangeté de la virginité. Il met à jour une dimension érotique qui unit à la fois sensualité, tendresse et cruauté.

4ème de couv. "« Pourquoi le XXe siècle a-t-il pris Sade au sérieux ? » Cette question a la force de l'évidence. Elle n'a pourtant jamais été posée aussi clairement et ouvertement que dans ce livre qui explore un des fétiches culturels, philosophiques et politiques majeurs de la séquence moderne dont les acteurs sont ici Adorno, Klossowski, Bataille, Blanchot, Foucault, Lacan, Deleuze, Sollers, Barthes... ou encore Pasolini avec son terrible et inoubliable Salò ou les 120 Journées de Sodome. Chacun de ces penseurs, écrivains ou artistes a fait de Sade un personnage fondamental de son aventure intellectuelle qui fut aussi une aventure personnelle. Le temps est venu d'interroger cette fascination ambiguë qui nous concerne profondément, et peut-être plus que jamais."

Auteure de roman et psychanalyste, J. Harpman aborde la création littéraire et la genèse des oeuvres avec l'idée que l'auteur laisse toujours transparaître son inconscient et son histoire dans ce qu'il écrit.

La principale héritière et continuatrice de l'oeuvre de C.G. Jung s'appuie sur la psychologie des profondeurs pour une interprétation plus féconde que l'analyse classique, exclusivement centrée sur les complexes et les refoulements personnels.

Psychanalystes français et spécialistes de la littérature abordent les relations entre littérature et psychanalyse, apaisées depuis que la seconde a renoncé à s'appliquer à la première. Ensemble, les deux disciplines deviennent une forme de résistance à l'entreprise de destruction de l'espace intérieur inaugurée par le XXIe siècle.

Afin de savoir comment il se serait comporté et d'examiner les choix qu'il aurait faits, l'auteur construit en détail l'existence qui aurait été la sienne s'il avait vécu pendant la Seconde Guerre mondiale, en référence au parcours de Franz Kafka, Daniel Cordier, Romain Gary, Sophie Scholl ou encore Sousa Mendes. ................................................................................................................................................................................................................... Pierre Bayard est professeur de littérature française à l'Université Paris 8 et psychanalyste. Il est l'auteur de nombreux essais dont Comment parler des livres que l'on n'a pas lus ?, traduit en une trentaine de langues. Hitchcock s'est trompé s'inscrit dans un cycle qui comprend Qui a tué Roger Ackroyd ?, Enquête sur Hamlet, L'Affaire du chien des Baskerville, La Vérité sur « Ils étaient dix » et OEdipe n'est pas coupable. Ces ouvrages de « critique policière » visent à résoudre des énigmes criminelles tout en menant une réflexion sur la littérature et l'art.

L'auteur restitue, par une lecture de l'ensemble des textes freudiens sur la littérature, la rencontre entre psychanalyse et littérature.

Une étude des liens entretenus par Freud avec la littérature, et des apports de celle-ci dans son oeuvre théorique, au travers des auteurs qu'ils a lus, ou avec qui il a entretenu une correspondance. Une partie de l'ouvrage est également consacrée à Freud écrivain.

hez Freud le premier, la réflexion sur l'art et ses créations a joué un rôle important dans l'élaboration de la théorie psychanalytique, grâce à maints exemples. La psychanalyse de l'art ou encore la « critique psychanalytique » ont par la suite parfois dévié. Est-ce une raison pour s'arrêter là ? Que se passe-t-il donc dans nos rencontres esthétiques, qui sont autant de « leçons de vie qui ne donnent pas de leçons » ? L'analyste, expert dans les ambivalences et les méandres de notre vie mentale, n'a-t-il rien à nous apprendre sur la création musicale, littéraire, cinématographique ou théâtrale ? Sur les traces d'Élie Faure et d'André Malraux autant que de Freud, croisant Bizet et Beethoven, Rembrandt et l'esthétique japonaise, Hemingway et Camus, scrutant Bergman ou Heiner Müller, loin des reconstructions qui prétendent nous livrer la vérité de l'artiste et celle de ses oeuvres, Christophe Paradas tente de brosser un véritable portrait psychanalytique de l'artiste. Et d'éclairer les mystères de la créativité.