Ce récit linéaire propose une rétrospective des années 1960 avec les chansons à succès de E. Piaf, Barbara, L. Ferré, les années post-yéyé avec M. Polnareff ou J. Dutronc. Une large place est donnée aux succès français et quelques artistes internationaux illustrent l'évolution de la musique, en accord avec les bouleversements idéologiques et sociaux de l'époque.

Le récit d'un voyage entrepris au cours de l'été 1959, de Vintimille à Trieste, le long des côtes. Chaque ville traversée est décrite géographiquement, mais surtout émotionnellement. Dans ce journal de notes prises sur le vif, Pasolini s'abandonne à l'émerveillement, au trouble de rencontres fugaces, dans une série d'esquisses où il passe de la confidence à l'ironie.

"Ma part d'ombre" est le récit d'une double enquête que mène Ellroy sur l'assassinat de sa mère, tuée le 22 juin 1958, et sur sa propre vie d'enfant orphelin, d'adolescent perturbé et d'écrivain hanté. Voyage à travers ses souvenirs les plus secrets, ce livre est aussi un reportage sur le crime en Amérique, et en particulier les meurtres de femmes, d'autant plus saisissant qu'Ellroy a travaillé aux côtés d'un policier de la brigade criminelle de Los Angeles, Bill Stoner, qui a tissé des liens de plus en plus forts avec l'auteur au fil des mois. "Ma part d'ombre, infinie catharsis autant que cri d'amour." (Antoine de Gaudemar, Libération) "La matière est brûlante : chauffée à blanc par l'urgence du rythme, les saccades de la prose, l'avidité voyeuriste du regard, l'accumulation compulsive et la précision des détails." (Michel Abescat, Le Monde)