L’Ehpad de Kersalic a fait un choix radical : redonner aux résidents un libre arbitre et leur rendre leur humanité. Une philosophie qui pourrait servir d’exemple à un secteur en crise.

Depuis le 1er janvier, les Ehpad et résidences autonomie habitués à l'aide sociale peuvent fixer le tarif "hébergement opposable" aux résidents non bénéficiaires de l'aide sociale à l'hébergement. Le département peut décider de conditions plus strictes que le cadre posé par les textes et imposer aux Ehpad des objectifs en matière d'accueil des bénéficiaires de l'aide. A moins qu'ils leur soient plus favorables, les nouveaux tarifs ne sont pas applicables aux résidents en place.

Concepts innovants, changement d'organisation... Des maisons de retraite se transforment, comme Kersalic, en Bretagne.