En Belgique, les maisons de repos ont été touchées de manière disproportionnée par la pandémie de SARS-CoV-2. L’objectif de cette étude était de comparer le risque d’infection par le SARS-CoV-2 chez les membres du personnel vaccinés et non vaccinés. Méthodes : Il s’agit d’une étude de cohorte prospective qui s’est déroulée entre le 1er février et le 02 avril 2021 dans 99 maisons de repos (MR) en Région wallonne, quelques semaines après le début de la campagne de vaccination.

En France, une part importante de la population retarde encore le moment de se faire vacciner. Un casse-tête pour les autorités de santé, qui compromet l'immunité collective et pourrait provoquer une quatrième vague. L'article est complété par un focus intitulé "On ne veut pas être des cobayes".

Pour certains, s'opposer à ce laissez-passer numérique menace le bien commun. Mais pour d'autres, il faut continuer à s'interroger sur son usage dans l'espace public. En conclusion de son article, "L'Obs" ouvre ses colonnes à la philosophe Barbara Stiegler qui déclare "On alimente la défiance".

Infrastructures, prêts, et désormais produits pharmaceutiques : depuis une décennie, le géant asiatique a su se rendre indispensable dans la région, analyse ce site latino-américain.

Les infections par le Streptococcus pneumoniae sont responsables de pneumonies communautaires et de maladies invasives à pneumocoques telles que sepsis et méningites aiguës. Dans la population adulte, le risque d’infections graves, potentiellement léthales, est particulièrement élevé chez les personnes âgées de plus de 65 ans et parmi des sous-groupes avec comorbidités. Les vaccins antipneumococciques ont été progressivement améliorés et un nouveau vaccin conjugué ciblant 20 sérotypes (PCV20) est désormais disponible.

L’objectif du travail est d’étudier l’apport de la vaccination contre la COVID-19 chez les sujets âgés infectés par la COVID-19. Méthode : une étude rétrospective sur consultation de dossiers médicaux a été réalisée avec inclusion de patients atteints par une infection liée à la COVID-19 au cours de la 5e vague épidémique en France. Résultats : 51 sujets ont été inclus dont 25 femmes (49 %), avec un âge moyen de 85 ± 6 années.

Attendu comme produit miracle, développé en un temps record, déjà préacheté en masse par certains pays, le vaccin contre le coronavirus suscite les vocations, les convoitises et... quelques dérives. Si de nombreux spécialistes le considèrent comme notre seul moyen de retrouver la "vie d'avant", les questions s'accumulent. Efficacité, effets secondaires, répartition géographique et choix des publics à vacciner, stockage et transport, acceptabilité sociale... Notre enquête évalue les chances de réussite des futurs vaccins. Sommaire. Une course aux vaccins sans précédent.

On les croyait disparues. Mais elles resurgissent à la faveur de conditions de vie précaires ou d'une baisse de la vaccination. Etat des lieux.

Le mouvement antivaccin reste marginal en France. En revanche, l'hésitation vaccinale, symptôme des controverses au sein de la médecine, est beaucoup plus fréquente.

À la fin du XVIIIe siècle, le premier vaccin était mis au point. Les progrès scientifiques ont explosé entre la fin du XIXe et le début du XXe siècle, et la vaccination est devenue une pratique courante. L’éradication de certaines maladies comme la variole a ainsi été rendue possible. Aujourd’hui, les recherches évoluent dans les techniques et les pathologies visées. Malgré ces victoires, la vaccination est restée un sujet de discorde au sein de la population.