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Politique militaire

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En annonçant le 6 octobre 2019 le retrait des troupes américaines de Syrie, Donald Trump a donné son feu vert à une offensive turque contre les Kurdes du nord de la Syrie. Ceux-là mêmes, souligne le "New York Times", qui luttent contre Daech.
Numéros de page :
p.10

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L’invasion turque du Kurdistan syrien a semé le chaos dans une des rares régions stables du Moyen- Orient. Au bilan humain désastreux – des dizaines de morts, une centaine de milliers de déplacés –, s’ajoute la fin du rêve d’autonomie des Kurdes, trahis par un Donald Trump indécent. Et ce ne sont pas les menaces de sanctions qui devraient infléchir le président turc, qui a su recréer l’union nationale autour de lui. Les vrais vainqueurs de cette invasion ? Bachar El-Assad, auquel les Kurdes syriens ont dû faire allégeance, et Vladimir Poutine, plus que jamais maître du Moyen-Orient.
Numéros de page :
pp.14-21

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Les blessures de plusieurs patients kurdes soignés dans des hôpitaux de fortune suggèrent que l’armée turque a recours au phosphore blanc. Les Nations unies ont ouvert une enquête.
Numéros de page :
pp.16-17

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Il y a chez Erdogan quelque chose du sultan pyromane. Profitant du retrait américain, le chef d'Etat turc a lancé son armée, associée à des combattants islamistes, à l'assaut des Kurdes de Syrie. Les répercussions sont innombrables. D'autant que ces derniers détiennent 12 000 djihadistes dont 2 000 volontaires étrangers...
Numéros de page :
pp.30-32

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Bilan de sa première année, alliance avec Kabila, opposition, révision de la Constitution, double nationalité, lutte contre la corruption, politique étrangère... Une interview exclusive du chef de l'État.
Numéros de page :
pp.44-51

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Nombre de pays ont lié leur sort économique à celui de Pékin. Aujourd’hui, ils prennent conscience de la menace militaire que cela représente.
Numéros de page :
p.26

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Pour cacher ses échecs économiques et sociaux, Ankara a de plus en plus recours à la glorification d’un passé ottoman mythique, accompagnée d’un ton martial destiné à ses voisins, analyse ce quotidien israélien.
Numéros de page :
pp.22-23

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Le président américain est prêt à provoquer un grave incident militaire avec l’Iran. Un plan du belliciste secrétaire d’Etat Mike Pompeo, détaille ce site iranien installé aux Etats-Unis.
Numéros de page :
p.32

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Du point de vue des leaders mondiaux, l’Azerbaïdjan et l’Arménie ne sont pas les seuls acteurs de ce conflit armé. Washington, Moscou et l’UE voient cet affrontement dans le Caucase du Sud à travers le prisme du “facteur turc”.
Numéros de page :
pp.14-15

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En 2004, Ankara affirmait le principe du "zéro problème avec ses voisins". Seize ans plus tard, le pays est en conflit avec tous. Ses guerres contre les Kurdes ont débordé jusqu’à l’intérieur de la Syrie, et la découverte de gisements de gaz en Méditerranée a réveillé ses appétits pour une mer Égée très largement grecque. La Turquie occupe toujours une partie de Chypre et envoie ses soldats se battre aussi bien en Libye que dans le Caucase. Avec la menace d’ouvrir ses frontières européennes à des millions de réfugiés, Erdogan paralyse l’Europe.
Numéros de page :
pp.48-55

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Le président turc vole de conflit en conflit. Après les Kurdes, la Libye. Sa décision d'y envoyer des troupes contre le maréchal Haftar confirme l'ambition belliqueuse néo-ottomane.
Numéros de page :
pp.34-35

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Ses prédécesseurs à la Maison-Blanche avaient choisi de ne pas liquider Soleimani. Pourquoi Trump, lui, a-t-il décidé de passer à l'acte ? Pure folie ou décision réfléchie ? Il n'empêche : la machine s'est mise en branle et ce n'est pas la France, hélas aujourd'hui impuissante et alignée sur les Etats-Unis, qui parviendra à l'enrayer.
Numéros de page :
pp.24-31