Avec l'augmentation constante du nombre de données, l'astronomie est désormais dans l'ère du "Big Data". Afin de venir à bout de la richesse de tant d'informations, elle se tourne de plus en plus vers des intelligences artificielles.

Qu'adviendra-t-il de l'humain quand les algorithmes nous surpasseront en intelligence ? Après avoir retracé la fascinante odyssée de l'homme avec le best-seller planétaire "Sapiens", Yuval Noah Harari nous projette dans le futur avec "Homo deus". Vertige assuré.

L'intelligence artificielle est entrée de plain pied dans les maisons et les appartements. Et la domotique devient un outil stratégique pour envisager l'habitat du futur.

Les annonces et publications relatives aux évolutions et perspectives de l'intelligence artificielle se sont multipliées ces derniers mois, laissant miroiter des changements majeurs dans notre vie quotidienne et dans de nombreux secteurs d'activité. Comme souvent, ce type de rupture scientifique laisse augurer le meilleur comme le pire, mais elle reste aussi très tributaire de ce qu'accepteront effectivement les individus en la matière.

Bienvenue dans la flash organization ! Le principe est simple : il s'agit d'industrialiser la production participative (également appelée externalisation ouverte ou crowdsourcing en version originale). Une suite de la Révolution de l'intelligence artificielle.

Les machines superintelligentes risquent bientôt de prendre le contrôle de nos existences. A nous de réfléchir aujourd'hui à ce qu'elles ne nous asservissent pas demain.

La robotic process automation - RPA (ou automatisation des processus robotisés), récemment apparue dans le milieu de l'ingénierie documentaire, est un marché à fort potentiel. Cette technologie recouvre de l'intelligence artificielle et s'applique à des cas d'usage pour lesquels d'importants retours sur investissements sont attendus. Concrètement, le RPA a pour objectif d'automatiser les processus métier. Elle est en mesure de traiter des tâches répétitives et chronophages.

Les moteurs de recherche s'emparent de l'intelligence artificielle, début 2018. Parmi eux, le géant américain Google travaille sur son programme RankBrain lancé en 2015, qui se définit comme un algorithme basé sur un réseau de neurones, l'apprentissage automatique et l'intelligence artificiell). Mais il n'est pas le seul. Le Français Qwant mise désormais sur cette technologie pour améliorer la pertinence de ses résultats de recherche grâce à une vingtaine de spécialistes de l'IA répartis dans ses bureaux en France et en Allemagne.

Le mathématicien et député de La République en Marche a reçu "l'Obs'' pouf faire le point sur les progrès et les dangers des "machines apprenantes". Sommaire. "L'intelligence artificielle sera partout, comme l'électricité". La diaspora française de l'intelligence artificielle.

Les organisations ont tout intérêt à s'intéresser à la mise en place d'un chatbot. Cette solution permet d'améliorer la relation client, sans mobiliser du personnel qualifié pour répondre à des questions basiques. Ainsi, il s'agit d'un programme qui, grâce à l'intelligence artificielle, est capable de discuter avec des humains et de leur proposer des services adaptés à leurs demandes, directement depuis une application de messagerie instantanée. Des précisions.

De nouveaux outils, intégrant de l'intelligence artificielle, permettent de traiter les données juridiques, produites en masse par les justiciables, les juges, les avocats. Ils permettent d'en extraire les éléments les plus importants, dont la solution juridique elle-même. Or, tout prévoir ne peut correspondre à une justice légitime. Dans ce contexte, en 2018, il est encore possible de fixer les objectifs de cette quête d'automatisation de la justice. Explications. Pas de chiffres.