Depuis la crise sanitaire, de nombreuses start-up ont lancé des innovations dans le but de moderniser les lieux de travail. Inexplicablement, elles ont du mal à lever des fonds. Tour d'horizon. Pas de chiffres.

Nommé no 2 du japonais SoftBank en février 2022, cet expert des télécoms est devenu l'ange gardien des start-up françaises et sud-américaines.

Au premier trimestre 2022, 1,6 milliard d'euros ont été investis dans les start-up françaises du retail (regroupant plus exactement les start-up de l’e-commerce, de la logistique et de la foodtech, ainsi que leurs prestataires dans le paiement et les données). Au total, 49 opérations ont été recensées par LSA. Cela représente près de la moitié des fonds levés par les start-up retail sur toute l'année 2021. L'e-commerce est l'activité la plus dynamique avec 777 millions d'euros levés.

Avec ses jardinières, ses bacs et ses pots de fleurs en matière textile conçus pour les espaces urbains, le trio de Bacsac veut remettre du vert dans la ville.

Détournement d'argent, manque de transparence, modèle à la dérive... Cette figure de la "start-up nation" est au creux de la vague.

Malgré les pertes qui s'accumulent depuis sa création, en 2012, la première licorne africaine de l'histoire demeure un modèle de résilience et inspire de nombreux jeunes entrepreneurs. Quelle est sa recette ?

Les start-up européennes du revenue-based financing » (RBF), ou financement basé sut les revenus, comme Bloom (Royaume-Uni), Wayflyer (Irlande) et Silvr (France) réalisent de belles levées de fonds depuis début 2022. Ces entreprises promettent de prêter en vingt-quatre à quarante-huit heures entre 10 000 et 10 millions d'euros à des entreprises digitales, essentiellement des e-commerçants mais aussi des sociétés SaaS (abonnement à des logiciels), sans dissoudre leur capital.

Les jeunes acteurs du marché français des substituts végétaux, certes encore modeste mais prometteur, sont à l'offensive sur tous les fronts. R&D autour de leurs produits, investissements dans les outils de production, campagnes de communication... Elles multiplient les projets et par conséquent les levées de fonds pour contribuer au développement du marché et s'implanter durablement. Explications à travers quelques exemples d'entreprises : Happyvore, Umiami, La Vie, Heura Foods, Planted. Quelques données chiffrées.

Associer technologie et écologie : l'alliage gagnant de "green techs" méditerranéennes qui, en prime, la jouent bleu-blan-rouge.

Avec la construction du premier parc éolien au large de Saint-Nazaire, toute une filière a émergé autour des énergies marines renouvelables, portée par des entreprises innovantes.

La data représente une solution phare pour les acteurs du retail et des biens de grande consommation dans le contexte de la crise. Pour continuer de vendre alors que les prix s'envolent et que les consommateurs surveillent de près leur pouvoir d'achat, les distributeurs et marques exploitent les données, et l'intelligence artificielle, pour gagner en productivité. Une stratégie appliquée à la relation client, mais aussi à la logistique, ou encore aux approvisionnements en magasin. Les retailers font notamment appel à des jeunes pousses expertes dans la data.

Année après année, le poids de l'hygiène-beauté s'érode au sein des grandes surfaces alimentaires. L'encadrement des énormes promotions, depuis le 1er mars dernier, risque de bouleverser les comportements d'achat des Français. Marques et consommateurs risquent fort de s'observer à la loupe dans cette année atypique. Sommaire. L'hygiène-beauté manque d'éclat. Des innovations de moins en moins percutantes. Pharmacies et solderies se taillent la part du lion. La cosmétique toujours parmi les bons élèves à l'export. Des start-up très inspirées. Données chiffrées. Tableaux. Graphiques.