La décision du groupe américain Apple de modifier les paramètres de confidentialité des iPhones a a fait perdre environ 9,85 milliards de dollars de revenus au cours du second semestre 2021 chez les acteurs du web Snap, Facebook, Twitter et YouTube. Elle a laissé les annonceurs dans l’ignorance de la façon de cibler les utilisateurs d’iPhone qui ont réagi en réduisant leurs dépenses vis-à-vis de ces différentes applications et en détournant leurs budgets vers les utilisateurs de téléphones Android et vers le secteur publicitaire en pleine expansion d’Apple. Explications. Pas de chiffres.

La crise sanitaire a accéléré les décisions et les expérimentations en matière d'algorithmes de la surveillance et du contrôle social. Chercheurs et intellectuels en étudient toutes les implications.

Lors d'une navigation sur le net, un internaute laisse forcément des traces derrière lui, qu'elles soient volontaires (messages, commentaires, etc.) ou non (données techniques, traces navigationnelles, traces héritées, etc.). Or, la problématique de la vie privée devient de plus en plus centrale en ligne, et un nombre croissant de personnes souhaitent ne plus être soumises à ces informations semées derrière elle.

Eparpillées et morcelées jusqu'alors chez tous nos praticiens, nos données de santé sont désormais accessibles dans un espace numérique unique.

Les données personnelles sont pour les Gafam le nouveau filon à exploiter à tout prix... quitte à prendre quelque liberté avec notre vie privée. Et si l'on retrouvait un peu d'intimité numérique ?

Alors qu'en Europe les lois sur la protection des données et le respect de la vie privée en ligne se multiplient, les Etats-Unis font du sur place, malgré les efforts du congrès, face à un lobby des géants de la tech plus fort que jamais. A l'heure d'aujourd'hui, aucune loi n'a encore été votée outre-Atlantique pour contrôler le pouvoir de ces entreprises qui influencent pourtant la majorité des domaines de la société.

Pour le CEO du moteur de recherche français, la croissance passe par un positionnement tourné vers la protection des données personnelles des utilisateurs. Entretien. Pas de chiffres.

On va dans le mur. Nos données numériques explosent et leur sauvegarde est en train de devenir ingérable. Comment pallier les limites de data centers ? Ce sont les biologistes qui ont trouvé la solution. Leur révolution technologique tient en trois lettres : ADN.

En 2017, alors simple candidat à la présidentielle, Emmanuel Macron avait promis de généraliser le vote électronique pour 2022. Force est de constater qu'il n'en est rien. Et pour cause, de nombreux obstacles restent à surmonter. Explications.

Numéro de sécu, photo de carte d'identité, RIB, mails, mots de passe, fiches de paie... A force de se dématérialiser, l'Administration accumule les données nous concernant. Des informations qui valent de l'or et suscitent la convoitise des pirates informatiques.

Les entreprises françaises, et européennes, ont jusqu'au 25 mai 2018 pour se mettre en conformité avec le Règlement général sur la protection des données (RGPD). Un texte qui a pour atout de replacer la sécurité informatique au centre des préoccupations des sociétés, en les poussant à améliorer la gestion des données sensibles et personnelles. Il pourrait également représenter un argument commercial pour les entreprises qui mettent en avant leur bonne gestion des données. Peu de chiffres.