Au Royaume-Uni, le parti écologiste historique « The Green Party » a combattu le Brexit. Paul Kingsnorth s'interroge sur les raisons de cette opposition et propose des pistes pour un après-Brexit.

Poil à gratter. Macron vante le progrès. Mais c'est un prophète de la catastrophe qui entre au gouvernement, selon le philosophe.

Le caractère irrationnel, xénophobe et plein d’amertume de l’appel de M. Trump est effrayant. Les Etats-Unis sont ainsi devenus grâce à lui une superpuissance sans foi ni loi.

Que l'on considère le poids des associations de protection de la nature, la réussite électorale des partis écologistes ou les politiques publiques engagées, les mouvements environnementalistes allemands apparaissent en avance sur leurs homologues français. Loin de toute approche culturaliste, ce succès relatif est la conséquence de rapports de forces, de stratégies d'acteurs ainsi que de représentations géopolitiques et s'appuie sur des structures fédérales plus favorables outre-Rhin.

Cet article développe une analyse géopolitique des barrages et usines hydroélectriques implantés en Amazonie brésilienne depuis le milieu des années 2000. La mise en œuvre de ces aménagements, en cristallisant de fortes tensions au sein du gouvernement fédéral alors sous présidence du Parti des travailleurs, a accéléré l'effritement de la plateforme idéologique et politique du « socioenvironnementalisme » et conduit à l'éclatement de la coalition gouvernementale, rendant possibles la crise politique de 2016 et l'éviction de la présidente Dilma Rousseff.

Victoire pour les défenseurs de l’environnement : depuis quelques semaines, les emballages plastique sont interdits au Kenya. Les commerçants en distribuaient chaque mois 24 millions. Plusieurs pays africains ont déjà pris cette décision.

Arrivée à mi-mandat, Anne Hidalgo planche déjà sur sa réélection à la tête de Paris en 2020. Une échéance également dans le viseur de ses contempteurs. Qu'elle a nombreux et particulièrement coriaces.

Malgré l'accumulation des scandales et l'inculpation en novembre 2017 de trois de ses proches, Donald Trump célèbre sa première année à la Maison-Blanche comme si de rien n'était et sans modifier la stratégie qui a fait sa victoire. Sommaire. "Trump parle à sa base et joue avec les peurs", article d'Alain Léauthier. "Il a compris que l'Amérique restait profondément divisée", entretien avec Jean-Eric Branaa, spécialiste des Etats-Unis. "Tout le monde est accro au barnum trumpien", entretien avec l'essayiste Naomi Klein. "Il existe bien une autre Amérique", article de Marc Dugain.