En mars 1971, James Brown et ses JB's revitalisés par la présence de Bootsy Collins dynamitent L'Olympia lors d'une étape de trois jours à Paris. Regards croisés depuis la scène et la fosse en compagnie du bassiste étoilé et de Dominique Fassio, alias DJ Domisoul, respectivement acteur et témoin de ces concerts mythiques.

Avant que le jazz ne tende la main à d'autres genres - pop, hip-hop, electro... - les années 1970 furent l'âge d'or de son fructueux mariage avec le funk inventé par James Brown et Sly & The Family Stone. De George Duke à Patrice Rushen en passant par Wayne Henderson, Roy Ayers et les Mizell Brothers, en voici quelques acteurs majeurs. Spécial bonus : quelques vinyles rares jamais réédités en CD et triés sur le volet, sans oublier quelques playlists thématiques pour encore plus de groove. Sommaire. George Duke : Funk & fun. Roy Ayers : le Roy soleil.

En ce jour jazz, John Coltrane et son groupe montèrent sur la scène du Monterey Jazz Festival en compagnie d'un invité spécial, le guitariste Wes Montgomery. Et bien que nul n'ait jamais eu la preuve formelle de son existence, l'enregistrement de ce concert demeure l'un des plus recherchés de tous les temps ...

Avec "Emanon", le saxophoniste livre sa vision du monde à travers un roman graphique coécrit avec Monica Sly et illustré par Randy DuBurke, ainsi que deux albums distincts : un "Live in London" millésime 2016 et une manière de concerto grosso pour solistes improvisateurs et orchestre gravé avec l'Orpheus Chamber Orchestra. le saxophoniste et clarinettiste Thomas Savy les a écoutés.

La dernière production du label particpatif Jazz & People est un duo entre le saxophoniste Dmitry Baevsjy et le pianiste Jeb Patton. l'envoyé spécial de "Jazzmag" était au studio Gii-Evans d'Amiens pour assister à l'enregistrement.

Le groove, comme le swing qui l'a précédé, défie la définition. Plus encore que le swing dont il fut d'abord synonyme, il est d'essence d'autant plus multiple que beaucoup s'en réclament en marge du funk, dont il constitue le certificat d'identité. Retour sur les origines d'un genre qui fit renouer le jazz avec ses racines africaines.

Pour ses grands débuts sur le prestigieux label ECM, Shai Maestro a choisi la formule du trio, tout en faisant de son producteur Manfred Eicher le quatrième membre du groupe. Un travail collectif qui lui a ouvert des perspectives inouïes. Confessions d'un pianiste en état de grâce.

Daft Punk, Air, Justice... : dans son nouveau disque enregistré avec Emile Parisien, Jozef Dumoulin et Fabrice Moreau, le contrebassiste revisite quelques standards de l'âge d'or de la French Touch, et pour "Jazz Magazine", il a passé en revue quelques disques de son panthéon personnel, "jazz mais pas que", comme on dit...

L'un des batteurs les plus en vue de la scène hexagonale vient de publier "Espaces" sur Label Bleu, premier album de son nouveau trio avec le pianiste Paul Lay et le contrebassiste Bruno Chevillon, une formule «idéale» selon lui.

Au moment où ce subtil agitateur de la scène jazz hexgonale publie son premier CD en piano solo, quoi de plus logique que de le blindtester en lui faisant écouter quelques-uns de ses confrères ?

En 2006, Franck Tortiller faisait battre son coeur d"ado en célébrant Led Zeppelin. Six ans plus tard, il étreignait le souvenir de Janis Joplin. Il vient d'écrire un programme autour de Frank Zappa.

Encore un nouveau projet hors norme sur ECM, sous la forme d'un somptueux coffret de 21 CD regroupant tous les albums de l'Art Ensemble of Chicago supervisés par Manfred Eicher entre 1979 et 2003, plus une sélection d'opus gravés en leader par ses membres historiques.