L’ascension historique du pays est en train de se stabiliser, avec le risque qu’il en devienne plus agressif avec le reste du monde. Détails. Pas de chiffres.

Quel peut donc bien être le problème ? Lorsque la Chine a commencé à prendre part à l’économie mondiale en 1978, elle a connu la croissance la plus spectaculaire de l’histoire. Sa réforme agricole, son industrialisation et la hausse des revenus de sa population ont permis à près de 800 millions de personnes de sortir de l’extrême pauvreté. Alors que la production chinoise représentait un dixième de la production américaine en 1980, elle en atteint aujourd’hui les trois quarts.

Nombre de réformes engagées par le gouvernement français ont pour motivation officielle les exigences de la Commission européenne ou encore la nécessité de rassurer les marchés. En réalité, de discrets conclaves technocratiques et financiers ébauchent, finalisent et parviennent à imposer des décisions que ni les Parlements ni les débats publics ne peuvent contrarier.

Outils constitutionnels et saturation de l’espace politique donnent une force tranquille à la majorité relative.

L’Inde, l’Indonésie et l’Arabie saoudite partent à la conquête du monde extérieur, un pari qui n’est pas sans risques. Détails. Pas de chiffres.

Pouvoir rémunérer ses salariés en lait ou en viande ? La « liberté » telle que l’entend le nouveau président argentin, M. Javier Milei, enchante le secteur privé ; moins les électeurs qui ont cru à ses recettes pour en finir avec la crise. Ceux-là découvrent le sens de sa promesse d’« éradiquer la caste » : servir l’oligarchie. Entre la rue et l’homme à la tronçonneuse, la bataille ne fait que commencer.

Président de la Colombie entre 1994 et 1998 et secrétaire général de l’Union des nations sud-américaines (Unasur) de 2014 à 2016, M. Ernesto Samper dresse un tableau sombre des politiques menées en Amérique latine au cours des dernières décennies. Après la crise sanitaire, qui a révélé la faillite du néolibéralisme, la voie du progrès passerait désormais par l’intégration régionale.

Un mauvais choix pour la prospérité et la pérennité des démocraties. Détails. Pas de chiffres.

Le gouvernement n'a plus les moyens de continuer à soutenir le pouvoir d'achat. Détails. Pas de chiffres.

C’est à un véritable bras de fer que se livrent le chef de la banque centrale Campos Neto et le président de la République, ce dernier jugeant les taux d’intérêt trop élevés pour appliquer son programme économique.

Un an et demi après le début de la crise de Covid-19, les politiques économiques commencent à se transformer. Alors que les banques centrales avaient massivement soutenu leur économie via le quantitative easing (achat de titres de dette publique et d'entreprises privées), cette pratique devrait largement diminuer : la Fed américaine et la Banque centrale européenne ont déjà annoncé la réduction de leurs achats de titres. Au niveau des Etats, l'austérité devrait revenir, tandis que les déficits et la dette ont explosé suite à la crise.

Disposant de marges de manoeuvre d'endettement historiques, certains Etats tels que les Etats-Unis font le choix de se servir de la dette dans leur politique économique dans le contexte de la crise sanitaire liée au Covid-19. Lorsque les taux d'intérêt sont bas et que la situation est amenée à se poursuivre (comme c'est le cas actuellement), les Etats ont en effet intérêt à s'endetter à long terme pour investir dans leur avenir. Explications et détails, sous la forme d'un dossier. Sommaire. Y a-t-il une limite à la dette publique ? Préoccupons-nous de la dette écologique.