A l'école, on n'écrit pas toujours beaucoup, car on est trop souvent dans la logique de production d'un écrit bien fait, qui sera évalué ou communiqué. Or, le langage écrit est aussi un instrument intellectuel, au service du travail quotidien des élèves. Comment les faire écrire davantage ? Sommaire. Pour penser, apprendre et se construire. ENSEIGNER PAR L'ÉCRIT : POURQUOI ? COMMENT ? Qu'as-tu appris que tu ne savais pas déjà ? Apprendre, c'est travailler avec le langage. Ecrits imparfaits, du temps pour penser. Ratures, biffures : travail en cours. Faire bouger les lignes.

L’éducation est en première ligne face aux nouveaux agents conversationnels. Il revient aux enseignants de distinguer les intelligences artificielles des ressources proprement humaines.

Etre dyslexique n'empêche pas de mener des études universitaires, mais cela nécessite des stratégies particulières. En témoigne l'histoire de Marc, décryptée par deux spécialistes de ce handicap cognitif.

Notre capacité à retenir de nouvelles informations dépend certes de la complexité de ces dernières, mais aussi de la charge cognitive suscitée par l’apprentissage. Charge qu’il est possible de minimiser grâce à quelques techniques simples.

Comment mettre les élèves en situation d'apprendre ? Il s'agit d'organiser le travail dans la classe, d'aménager l'espace, de scénariser les temps de travail pour créer les conditions des apprentissages. Mais c'est aussi une affaire de régulation en fonction des réactions des élèves, et d'organisation de l'établissement. Organiser le travail pour mieux engager les élèves, avant-propos. REPENSER LES COLLECTIFS. Quand on se donne les moyens. Cheminer ensemble. Deux marraines pour un parrainage. Le début de l’après-midi. S’engager collectivement. Oser le coenseignement. Revenir aux problèmes.