Si les jupes pour homme et autres imprimés floraux sont très présents sur les podiums et les réseaux sociaux, au quotidien, les habitudes vestimentaires des hommes ont la vie dure. Décryptage.

Comme toute évolution sociétale, celle qui bouscule aujourd'hui les contours de la masculinité s'accompagne d'un bouleversement stylistique. Enfin débarrassés des injonctions à la virilité, les hommes s'offrent de nouvelles libertés vestimentaires. Pour le plus grand plaisir des créateurs. Sommaire. C'est l'histoire d'un homme qui ose. Les lois de l'attraction. Cherchez le garçon.

En développant une offre femmes sous le nom d'une marque iconique, Celio franchit une nouvelle étape dans son développement. Cela passe par des magasins bien plus vastes pour se conformer aux standards internationaux de la mode. Peu de chiffres.

Si ces semaines de la mode ont été particulièrement innovantes et créatives, c'est parce qu'elles racontent la révolution qui bouscule, en ce moment, les frontières de l'identité masculine.

Pantalon à pinces (noir, gris ou bleu marine), chemise (blanche), blazer (assorti au pantalon), souliers (vernis), ceinture (en cuir noir) et... cravate. C’est à ce dernier élément du costume classique - par ailleurs l’un des seuls accessoires du vestiaire masculin pour lequel on tolère une touche de couleur ou de fantaisie - que David Graeber - qui n’était pas connu pour son attachement viscéral aux normes bourgeoises d’habillement - avait consacré cette petite promenade dans l’histoire et la sociologie du vêtement.

Ils sont jeunes, artistes et slasheurs, et ont fait de la Cité des Anges leur terrain de jeu et de je. Pour cette série qui dévoile autant ce qui les habille que ce qui les habite, ils fusionnent les styles et les vestiaires avec une insouciance teintée de gravité.

En 1891, la Société des Gens de Lettres va voir le célèbre sculpteur Rodin : elle veut lui commander un monument à la gloire de Balzac, un très grand romancier du 19e siècle. Mais il y a un problème : Balzac est mort depuis 40 ans et Rodin ne peut pas lui demander de poser pour lui… En conclusion de l'article, un focus sur l'histoire de la robe de chambre, un vêtement qu'aimait porter l'écrivain.

À l'issue des présentations des collections masculines pour l'automne-hiver 2025, un constat s'impose : la normalité du vestiaire ne rime pas avec ennui.

Les marques pour hommes rechignent à proposer des très grandes tailles et continuent de ne proposer que le jeune apollon bodybuildé en guise de modèle. Pourquoi une telle invisibilisation ?

Jamais le tailoring n'a eu autant le vent en poupe : entre grandes maisons et jeunes griffes, voici comment succomber aux joies du formel décomplexé.