L'économie de la fonctionnalité gagne les entreprises en 2020, ce qui fait les affaires du crédit-bail. Ce mode de financement représente désormais 15 % des investissements effectués par les sociétés françaises. Il permet de disposer d'un bien, matériel ou immobilier, en échange du paiement d'un loyer tous les mois. A la fin du contrat, l'entreprise peut acquérir définitivement le bien ou le restituer. Utiliser plutôt que posséder, cela résume bien l'économie de la fonctionnalité.

Les fonds de capitaux privés ont changé de dimension dans les années 2010. Ils sont désormais plus privilégiés que jamais, enregistrant une progression de leur valeur de 44 % entre 2014 et 2019 selon JPMorgan Chase. Ce phénomène s'illustre notamment à travers le succès du capital-risque, via le soutien apporté aux start-up par de grands fonds d'investissement ou d'autres entreprises. Les capitaux privés ont profité d'une réglementation qui a changé en leur faveur au cours des ans, ainsi que de potentiels rendements plus élevés sur le long terme.

Longtemps négligée par les investisseurs, la capitale égyptienne a pourtant révolutionné son écosystème d'innovation, au point d'ébranler l'hégémonie sud-africaine, nigériane et kényane.

Comment sortir le pays de l'ornière ? Le président de la Conect, une organisation patronale créée en 2011, propose une thérapie de choc.

La pandémie de Covid-19 accroît les incertitudes autour du plan du tycoon nigérian pour lutter à coups de milliards de dollars contre la dépendance aux importations de carburants et d'engrais.

Certains secteurs tels que l'e-commerce, la santé et l'énergie, ont su tirer parti de la crise liée au Covid-19, et les investisseurs privés comptent bien en profiter aussi à travers des fonds communs de placement (FCP et FCPI) et des fonds d'investissement (FIP), bénéficiant ainsi jusqu'à 25% d'abattement fiscal (pour les FCPI et FIP). Pour optimiser le risque-rentabilité, ils misent sur une diversification du risque et l'appel à des sociétés de gestion. Quelques données chiffrées.

Alors que les Etats-Unis retrouvent une activité diplomatique classique depuis l’arrivée de Joe Biden à la Maison Blanche, et que Pékin manie de plus en plus le soft power pour renforcer sa position sur la scène internationale, les enjeux de puissance à l’échelle mondiale reposent et reposeront sans doute de plus en plus sur les capacités des Etats à s’imposer en matière scientifique et technologique. Technologies de l’information, conquête de l’espace, intelligence artificielle, recherche médicale..., sont autant d’enjeux d’avenir dans lesquels il s’agit désormais d’investir efficacement.

Investir dans les entreprises, c'est à la fois une nécessité et souvent une bonne affaire. Nos pistes. Sommaire. Diversification : cap sur l'économie productive. Bourse. Olivier Raingeard : « Nous tablons en 2018 sur une progression plus chaotique des actions ». Prélèvement à la source : comment cela va se passer. Assurance-vie : où trouver la performance. Montagne : l'attrait de l'or blanc.

La production et l'incinération de plastique a rejeté 850 millions de tonnes de gaz à effet de serre en 2019 selon le Center for International Environmental Law, soit presque autant qu'un pays l'Allemagne. Piliers de cette industrie plastique, les géants de la pétrochimie sont en grande partie responsables de l'empreinte environnementale de cette activité, et ne comptent pas ralentir malgré le réchauffement climatique.

Pour sécuriser ses ressources en matières premières, Pékin investit sans compter au-delà du 66e parallèle. Une stratégie qui mise sur l'ouverture de nouvelles voies maritimes dues à la fonte de la banquise.

Pour ce numéro spécial, "LSA" est allé partout en France pour s'immerger au sein des usines de nos chères PME. A la clé, des rencontres enrichissantes avec des dirigeants et dirigeantes passionnés et passionnants et des visites impressionnantes qui se veulent toujours plus modernes. Une preuve de plus, s'il en fallait une, de la vitalité de ces petites et moyennes entreprises qui, malgré un contexte compliqué, parient sur l'avenir en investissant régulièrement et, souvent, massivement dans leur outil industriel. Sommaire. La modernisation est en marche.

Annoncée le 18 décembre, l'entrée en négociations exclusives pour la reprise de 313 magasins Casino (dont 65 hypermarchés) par le ticket Auchan-Intermarché secoue le secteur. Il reste néanmoins beaucoup de questions en suspens. Détails. Pas de chiffres.