Suivant les consignes de Téhéran, pour qui l’Irak doit rester inféodé au régime iranien, le gouvernement de Bagdad s’acharne sur les manifestants qui réclament sa chute.

Pour la première fois Israël aura son pavillon à l’Exposition universelle, organisée en octobre 2020 à Dubaï. Face à l’Iran, les Etats arabes du Golfe s’ouvrent à l’Etat hébreu.

G5 Sahel, crise libyenne, Boko Haram... Au pouvoir depuis près de trois décennies, le président tchadien ne lâche rien. Et n'hésite pas à pointer du doigt les promesses non tenues de la communauté internationale.

Asile des opposants au temps de la dictature, l'ex-puissance coloniale reste un partenaire stratégique mais a cessé de faire rêver. Pour des raisons pas toujours très rationnelles.

Il y a six mois, alors qu'il recevait "JA" à Bangui, le Premier ministre Firmin Ngrebada se disait « optimiste » et « convaincu » d'aller dans la bonne direction. De passage à Paris, l'homme de confiance du président Faustin-Archange Touadéra, en fonction depuis le 25 février 2019, n'a rien perdu de son assurance quand il évoque l'influence de Moscou, les groupes armés ou la prochaine présidentielle.

Après quelques semaines de flottement, le pays d’où est partie l’épidémie de Covid-19 se pose désormais en modèle de gestion de la crise sanitaire qui ravage le monde. Diplomatie des masques, aide médicale et économique tous azimuts... Le régime de Pékin joue la carte de la coopération mondiale. Sommes-nous au seuil d’un basculement géopolitique majeur au détriment des Etats-Unis ? Pas si sûr. Déjà des voix s’élèvent pour exiger de Xi Jinping qu’il rende des comptes. Décryptages de la presse étrangère. Sommaire. DE LA REALITE DE LA PUISSANCE CHINOISE. Vu de Russie.

Avec la chute du prix du pétrole et la pandémie de Covid-19, Mohammed ben Salmane doit renoncer à ses projets pharaoniques et imposer, non sans risque, l’austérité au pays, souligne "The Daily Telegraph".

Pékin et New Delhi ont semble-t-il cherché à tempérer leur conflit frontalier, même si, en façade, la fermeté diplomatique reste de mise, analyse ce quotidien de Singapour.

Deux jours après la double explosion du 4 août 2020, la visite d’Emmanuel Macron à Beyrouth, saluée par la majorité des médias libanais, n’était pas uniquement un geste de solidarité envers un pays ami effondré et en colère. L’idée de ne plus laisser le Liban continuer sa descente aux enfers et devenir une nouvelle Somalie fait son chemin sous l’impulsion de la France. Mais le pays du Cèdre est l’otage de conflits régionaux transformé en un État de non-droit.

Sans faire la moindre concession sur la question palestinienne, le Premier ministre israélien a réussi à se réconcilier officiellement avec un pays arabe pétrolier, explique ce quotidien de centre gauche.

1920. Estonie et Lettonie. Comment un diplomate britannique a été chargé il y a cent ans d'une mission ardue : tracer la frontière entre ces deux pays baltes.

Vu d’Israël. Ce pays du Golfe, qui vient de signer un accord de normalisation avec l’Etat hébreu, subit un véritable marasme économique. Et voit ses réserves de pétrole et de gaz s’amenuiser.