Capable d'écrire sur le free jazz, Johnny Hallyday ou le rugby, l'ancien critique de "Libération" publie une somme sur le rock underground français.

Membre de Throbbing Gristle, plasticienne et actrice de genre à ses heures, la Britannique a triplement réussi à choquer le bourgeois dans les libertaires années 70. Elle s'en explique, à l'occasion d'une nouvelle exposition.

Editeur, galeriste, ami des Beatles et de la Beat Generation, cet Anglais a fait mieux que connaître les sixties, il y a participé. Il se les remémore ici.

Le photographe américain, allergique aux compromis, a assisté en direct à l'éclosion du skateboard, du punk hardcore et du rap.

Tom Bloxham est un personnage haut en couleur. Le vendeur de posters et t-shirts qui a surfé sur les deux grandes dernières vagues musicales d'indie rock - le grunge et le Madchester - est devenu un magnat de l'immobilier britannique, dont le 'pipe' de développement dépasse le milliard de livres sterling. Celui qui a, avec sa société Urban Splash, ressuscité les quartiers les plus durs du nord de l'Angleterre est un génial meneur d'équipe, inspirant, généreux et même un brin paradoxal. Retour en cette année anniversaire sur trente ans d'histoire turbulente.

Mike Kelley bénéficie d'une large rétrospective à Paris, à la Bourse de Commerce-Pinault Collection (13 octobre 2023-19 février 2024, commissariat Jean-Marie Gallais), qui sera ensuite présentée à Londres, Düsseldorf et Stockholm. 10 ans après la mort de l'artiste, l'exposition, qui s'inscrit dans une saison « Mythologies américaines », présente la plupart de ses réalisations importantes, mais pas toutes, et tend parfois à lisser l'oeuvre à l'humour grinçant de cet enfant terrible de la côte Ouest.

Affectés par la pandémie de Covid-19 et la crise économique, les jeunes Argentins se réfugient dans le rock. Une nouvelle scène underground est en train d’émerger dans la capitale et alentour.

Dans les années 1970, l'atypique V. Vale, compagnon de route de la Beat Generation, documente l'effervescente scène punk de San Francisco dans une revue aussi radicale que majeure : "Search and Destroy". Nous l'avons retrouvé sur les routes de Californie. Portrait.

À l'heure où les chapelles stylistiques se multiplient sur Instagram et TikTok, que sont devenues les subcultures radicales ?

Nationalisme, néoféminisme, wokisme, etc. : le débat public semble saturé par la question de l'identité. C’est devenu la valeur cardinale de notre modernité, estime Julia de Funès, auteure du “Siècle des égarés”. Pour le politologue Olivier Roy, qui vient de publier “L'Aplatissement du monde”, c’est la conséquence d'une crise de la culture.

"No future", scandaient-ils. Pourtant, leurs idées sont plus présentes que jamais. Loin des clichés, le mouvement punk s'est imposé dans la durée et a été allègrement récupéré par la logique capitaliste. Sommaire. Et si les punks avaient gagné ? Du punk au pouvoir. Vestiaire punk.

Voici son histoire, ses formes, ses croyances, ses forces et ses tragégies. Sommaire. Blues rock'n'roll & autres diableries. Oh, culte ! Démons et merveilles, abécédaire satanique du rock.