Formée à l'étranger, la secrétaire d'Etat est l'un des espoirs de la macronie.

Quel objectif choisir pour l'économie occidentale : produire encore de plus en plus de biens et de services sans prendre en compte les limites des écosystèmes, au prix d'un effondrement brutal à court terme ou... commencer à produire moins et sauvegarder les conditions de vie humaine sur Terre ? La question devrait être enfin posée.

Pétroliers, grande distribution, industrie alimentaire, nucléaire, chasseurs... l'ex-ministre de la Transition écologique et solidaire a perdu sa bataille, sacrifié sur l'autel des conservatismes. Sommaire. Comment les lobbies ont tué Nicolas Hulot ! Le chemin de croix du ministre de la Transition écologique. Macron renvoyé au vieux monde. Réchauffement climatique. "L'écologie est orthogonale au néolibérallsme", entretien avec Jean Jouzel, climatologue.

Le 14 octobre 2018, aux élections législatives régionales, les Bavarois menacent de briser le pouvoir absolu de la très conservatrice Union chrétienne-sociale (CSU). Les Verts en sont les premiers bénéficiaires.

Le mouvement climat a connu de nombreuses mutations depuis les premières marches des années 2010. La dynamique des luttes locales en a fait un mouvement inventif, déterminé et hautement politique. Sommaire. C'est la lutte joyeuse ! S'adapter à la répression pour ne pas relâcher la pression.

Pour parler de biodiversité, pas mieux qu'une rencontre entre l'auteur de Broussaille, Frank Pé, et le scientifique Hubert Reeves.

L’écologie a-t-elle perdu ou gagné en influence politique entre 2008 et 2018 ? Difficile à dire, suivant la façon dont on considère que le système politique peut et doit appréhender l’écologie : faut-il privilégier la compréhension des enjeux, la reconnaissance des acteurs, le niveau des mobilisations ou la diffusion des grands débats liés à la préservation de la planète ?

L’histoire peut-elle donner raison par elle-même à un mouvement politique ? Nous sommes fondés à nous poser la question, aujourd’hui plus qu’hier encore, au sujet de l’écologisme, puisque, en apparence au moins, les transformations de la planète, du vivant et du climat plaident d’elles-mêmes pour une réponse écologique. Ce serait en quelque sorte le monde lui-même qui appellerait à sa protection, la conjoncture matérielle, sociale et économique qui fournirait à la simple intuition le geste critique approprié.

Un article récent dans la "Revue du crieur", lancée il y a deux ans par Médiapart et La Découverte, range "Limite", la revue d’écologie intégrale créée à peu près en même temps, parmi «les droites dures [qui] investissent la défense de la nature». On retrouve ainsi, de facto, la revue animée par de jeunes «décroissants» catholiques en mauvaise compagnie, celle de groupuscules, de publications, de sites et de personnages très à droite – certains sont même qualifiés de « néofascistes » –, qui reprennent à leur compte la critique de la catastrophe environnementale.