Comment les jeunes américains réagissent-ils à la désignation de Kamala Harris comme candidate démocrate à la présidentielle après le désistement de Joe Biden ? Ils et elles se prononcent sur ce qui les ferait voter, ou on, pour l'ancienne procureure et sur sa capacité à battre Donald Trump.

De nombreux éléments rendent la comparaison entre la campagne de Kamala Harris et celle de la candidate à la présidentielle en 2016, Hillary Clinton, facile. Pourtant, tout a changé depuis, ou, du moins, des leçons en ont été tirées. Même si elle n'a pas été élue, l'ancienne première dame a permis de faire disparaître des barrières en politique. Aujourd'hui, les démocrates se posent un peu moins la question de savoir si une femme peut accéder à la Maison Blanche.

Pour remporter la présidentielle, la candidate reprend à son compte la sacro-sainte liberté du port d’armes. Le tout en plaidant pour une réduction des risques liés aux armes à feu.

À quelques semaines des élections américaines du 5 novembre 2024, le monde retient son souffle. S'il perd, Donald Trump refusera-t-il de reconnaître sa défaite comme en 2020 ? L'âge de Joe Biden lui permettrait-il de terminer un second mandat ? À quoi ressemblerait une présidence de Kamala Harris ? Que signifierait un retour de Trump pour la société américaine et pour le monde ?

Cette folle campagne américaine n'a sans doute pas fini de nous surprendre. Kamala Harris a beau être sortie gagnante d'un débat télévisé, elle est encore loin d'avoir vaincu Donald Trump, qui a échappé à une seconde tentative d'assassinat. Car, au-delà des rebondissements quotidiens, l'élection présidentielle du 5 novembre 2024 se joue sur des rapports de force que "The New York Times" tente de décrypter dans deux essais de politique-fiction. Deux scénarios imaginaires qui montrent que chaque candidat a encore toutes les chances de l'emporter. Sommaire. Une élection explosive.

Longtemps refuge de la communauté homosexuelle avant la dépénalisation et théâtre de fêtes extravagantes, la petite île de Fire Island, au large de New York, est aussi une enclave LGBTQIA+ progressiste qui s'enflamme autour de la candidate démocrate.

Difficile pour le peuple de gauche en Belgique de ne pas être a nouveau dépité après le résultat des présidentielles aux États-Unis. Les enseignements à tirer de cette débâcle concernent tous ceux et toutes celles qui aspirent au changement social, de Washington à Bruxelles.

Mardi 5 novembre, les Américains éliront leur prochain président ou présidente ! Le scrutin s'annonce serré entre Kamala Harris et Donald Trump.