L’Inde, l’Indonésie et l’Arabie saoudite partent à la conquête du monde extérieur, un pari qui n’est pas sans risques. Détails. Pas de chiffres.

Les deux paramètres de la transformation du pays, volume et vitesse, ne sont plus un gage de supériorité. Fait partie d'une série "Quand la Chine s'est éveillée".

À échéance régulière, la presse occidentale bruisse d’une prédiction : l’économie chinoise serait sur le point de s’effondrer. Si l’infirmation systématique de leurs certitudes devrait inviter les oracles modernes à la prudence, elle ne suggère toutefois pas que la Chine se trouve à l’abri des convulsions. Sans frôler la banqueroute, l’empire du Milieu fait face à de sérieux défis.

Il y a cinquante ans, le vice-président de la Commission européenne chargé de l’agriculture prônait une bifurcation radicale de l’économie face aux limites de la croissance. Un texte d’une évidente actualité. Détails. Pas de chiffres.

Il y a près d’un an, le vingtième congrès du Parti communiste chinois actait la reconduite de Xi Jinping pour un troisième mandat. Le dirigeant de 69 ans, au pouvoir depuis 2012, règne à présent en maître absolu sur un gigantesque pays de près de un milliard et demi de personnes. Chef de file des anti-occidentaux, le président chinois entend faire de son pays une puissance incontournable et donne la priorité à la scène internationale.

En amont du prochain sommet de l'Union africaine qui aura lieu en Ethiopie, siège de l'organisation panafricaine, Laurent Taieb, directeur général du groupe Prestige Communication et éditeur du magazine de géopolitique "L'Essentiel des relations internationales", nous apporte son éclairage sur les enjeux de ce sommet et sur les défis que doit relever le continent africain.

Entre multiplication des crises et difficultés structurelles, le développement des pays les plus pauvres de la planète est aujourd'hui à l'arrêt, voire en régression, alerte la Banque mondiale. Données chiffrées.

Pour les défenseurs de l’autoroute A69, c’est la survie économique du territoire autour de Castres qui est en jeu. Mais quelles réalités néolibérales cet argument sans cesse brandi cache-t-il ?

Réélu péniblement, le Premier ministre Modi a les ailes coupées. Sa capacité à profiter du ralentissement économique de son rival interroge.

Avec un taux de croissance du PIB par habitant de 5,8 % entre 2007 et 2017, l'Inde et son premier ministre Narendra Modi ont progressivement refait leur retard sur le reste du monde en matière de développement économique. Si elle arrive à conserver cette progression, le PIB par habitant doublera tous les 12 ans, ce qui modifiera profondément le visage du pays, qui pourrait dans le même temps dépasser la Chine et devenir le plus peuplé du monde d'ici 2040.