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Économie sociale et solidaire

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Auteurs
Elles ont la pêche, sont à l'écoute de leurs concitoyens et de leur époque. Elles sont entreprenantes et solidaires. Auprès d'elles, la Maif et Causette s'engagent dans l'économie collaborative.
Numéros de page :
p.19

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Auteurs
Aladdin Charni, squatteur professionnel et organisateur de soirées clandestines mémorables, est avant tout un éclaireur. A l'initiative du Freegan Pony, un resto de récup alimentaire unique en son genre, il construit à son échelle des petits îlots de partage et d'humanisme. Et par les temps qui courent, ce n'est pas un luxe.
Numéros de page :
pp.66-69

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Les fondations et fonds de dotation ont vu leur croissance s'accélérer ces cinq dernières années, sous l'impulsion de la loi Aillagon votée en 2003, qui octroie aux sociétés une réduction de leur impôt à hauteur de 60 % des dons effectués. La France comptabilisait ainsi 4546 entités en 2016, contre 2 733 en 2011, selon les derniers chiffres de l’Observatoire de la Fondation de France. Les perspectives redeviennent positives aujourd’hui pour le secteur du mécénat. Les difficultés économiques ont toutefois influencé les champs d’intervention privilégiés par les entreprises.
Numéros de page :
pp.28, 30

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L'investissement responsable est en plein évolution en France, alors que les principes pour l'investissement responsable (PRI) fêtent leurs dix ans, en 2017. La législation est devenue plus contraignante, avec notamment l'article 173 de la loi Transition écologique et énergétique (TEE), qui impose aux investisseurs institutionnels d'informer sur l'intégration des critères environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG) dans leur gestion de portefeuille.
Numéros de page :
pp.20, 22-24

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En 2016, 14 % des entreprises françaises étaient mécènes, selon l’enquête Admical/CSA, soit une croissance de 2% par rapport à 2015. Le mécénat tend aujourd'hui à devenir plus incarné, en systématisant l’implication de l’ensemble des collaborateurs. Micro-don financier, mécénat de compétences, congé solidaire... Les formes d'engagement possibles sont diverses. Les entreprises y voient l’occasion de générer de la fierté, décloisonner en interne, répondre aux salariés en quête du sens. Explications et détails. Peu de chiffres.
Numéros de page :
pp.48, 50, 52

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L'épargne salariale est aujourd’hui accessible à toutes les entreprises françaises, quelle que soit leur taille, la nature de leur activité ou leur forme juridique, dès lors qu’elles comptent au moins un salarié, non mandataire social. Celles qui choisissent de proposer à leur salarié un PEE (plan d’épargne entreprise) doivent proposer un fonds solidaire. Pour les salariés, ces fonds leurs permettent d’épargner de façon solidaire mais aussi de bénéficier d’un cadre fiscal avantageux.
Numéros de page :
pp.22, 24, 26-27

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L’économie collaborative se développe sensiblement. Elle met en cause la logique marchande du système capitaliste. S’inscrit-elle dans la transition écologique ? Ses composantes sont multiples et parfois contradictoires. Elle s’inscrit dans un mouvement général de suppression des intermédiaires. Elle valorise l’autonomie individuelle mais peut aussi contribuer à la création de communs. L’enjeu serait de l’articuler avec d’autres formes économiques émergentes comme l’économie sociale et solidaire et l’économie circulaire.
Numéros de page :
pp.29-38

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En parallèle du mécénat financier, les entreprises peuvent aussi se tourner vers le don en nature lorsqu'elles souhaitent s'engager. Cette pratique moins répandue, réalisé par 40 % des entreprises mécènes françaises en 2019, consiste à faire don de produits, matériels ou bien immobiliers à des associations, fondations ou oeuvres caritatives. Cette pratique permet d'apporter une aide directe et plus concrète, tout en limitant le gaspillage interne ou la destruction d'invendus. Le mécénat en nature permet également de bénéficier d'avantages fiscaux, à hauteur de 60 % du montant donné.
Numéros de page :
pp.14, 16, 18

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« Pas de voiture = pas de travail », et inversement ? En France, plus d'une centaine de garages solidaires luttent contre cet engrenage. A Baugy, près de Bourges, GAS 18 - MobilitéS offre ainsi des solutions de mobilité et d'inclusion à des personnes en situation de précarité : réparation, achat et location de véhicules à moindre coût, transport à la demande, ateliers-chantiers d'insertion... Bienvenue à bord de l'auto sociale !
Numéros de page :
pp.58-60

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Depuis près de dix ans, Book Hémisphères offre aux livres et produits culturels une seconde vie. L'idée est simple : les ouvrages, donnés par des particuliers et collectivités, sont redistribués à des associations caritatives, vendus ou recyclés. Mais avant tout, ils sont triés ; une étape assurée par des personnes éloignées du monde du travail.
Numéros de page :
pp.60-62

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Depuis 2016, les supermarchés coopératifs et collaboratifs sont apparus en France et sont fréquentés en 2020 par 1% des Français. Pour pouvoir faire ses courses dans ce type de structures, le consommateur doit acheter des parts sociales et travailler quelques heures bénévolement dans le magasin. Seules quelques personnes sont embauchées pour faciliter le fonctionnement du lieu. La force de ces établissements est de proposer des produits de qualité 15 à 30% moins cher que dans un supermarché classique.
Numéros de page :
pp.8-12, 14

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La pandémie de Covid-19 a rendu visible ces travailleurs de l’ombre, donnant une consistance éthique et politique à des métiers jusqu’ici peu considérés. Défendre les professions du care et plus largement les activités de « prendre soin », par un singulier tournant, s’avère à nouveau possible et s’impose même comme une nécessité du moment présent. Toutes les idées ridiculisées, il y a dix ans, reviennent comme d’improbables boomerangs nous heurter en plein visage.
Numéros de page :
pp.61-72