Produits de fêtes et d'événements, les vins effervescents (hors champagne) n'ont pas passé une bonne année 2020 en raison du Covid-19. Ils reculent de 7,5 % à 562 millions d'euros. Les épisodes de confinement ont plutôt favorisé les apéritifs. Seuls les vins effervescents étrangers et les sans alcool ont réussi à tirer leur épingle du jeu et terminent en croissance, +9,1 % à 139,6 millions d'euros pour les premiers et +0,6 % à 16,7 millions d'euros pour les seconds.

Après une période difficile qui aura duré trois ans, en raison de la pandémie, des gilets jaunes, de la loi Egalim et de la fin des promotions lourdes, le marché français des vins effervescents a retrouvé des couleurs en 2021. En grandes et moyennes surfaces, les ventes ont pesé 1,62 milliard d'euros, et ont enregistré une hausse de 11,6% en valeur et de 6,3% en volume par rapport à l'année précédente. Les intervenants travaillent l'export, suivent la voie du bio et surfent sur la vague des cocktails. Le CA des vins effervescents sans alcool, quant à lui, recule. Des détails.

Dossier consacré aux champagnes et spiritueux. Sommaire. Et au milieu coule le Douro. Le Porto, passion française. Distillations soleil levant. Les fruits de l'expérience. L'ivresse au sommet. Des vodkas bien de chez nous. Bulles vertes. Eloge de la lenteur. Voir Venise et trinquer. Une croissance pétillante. Flûtes enchantées.

Dossier champagne et spiritueux. Sommaire. Rhum blanc, un festival de cannes. Sur les hauteurs de Saint-Etienne. Cinquante nuances de rhums blancs. Le Cognac intégral. Le temps tourne à l'orange. Le fût sacré du whisky. Le champagne rosé s'invite à table. Les saigneurs du pinot noir. Fleur de Miraval, affaire de familles. L'effervescence gagne tous les domaines. La bibliothèque rose.

À la fois abordables, qualitatifs et versatiles, les vins effervescents se glissent dans de nombreux instants de consommation. Le prosecco en tête, porté par le spritz que rien n'arrête. Détails. Données chiffrées.