Quarante kilomètres séparent la capitale, Tbilissi, des chars russes “stationnés” en Ossétie du Sud occupée. Spécialiste de la région, cette célèbre reporter tchèque s’est rendue dans un de ces villages coupés en deux par la ligne de démarcation.

L'Ukraine a repris la main face à la Russie, grâce à une incursion audacieuse, mais aux conséquences encore incertaines.

Alors que les bombes lâchées par Israël sur les fiefs du Hezbollah ont tué des centaines de personnes et provoqué la fuite de dizaines de milliers d'autres, le pays, traumatisé par des décennies de guerres, est frappé d'effroi par ce nouveau conflit.

Dans les villages ukrainiens ayant connu l’occupation russe, la guerre a détruit les gestes les plus élémentaires du quotidien. Ceux qui restent réparent en attendant le retour de ceux qui sont partis sur le front. L’après-guerre commence dans la guerre.

Les témoins rencontrés par "L'Express" racontent la terrible répression menée par Moscou pour « russifier » les régions conquises et éradiquer toute identité ukrainienne.

L’opération Mur de fer, lancée en janvier 2025, a déjà déplacé 40 000 personnes, surtout dans les camps du nord de la Cisjordanie. Pour ces Palestiniens, cela ne fait aucun doute : Israël veut rendre leur retour impossible.

Plongée dans un système scolaire désorganisé mais qui fonctionne encore, avec des enseignants démunis pour accueillir des enfants en souffrance et des familles déroutées.

Depuis le 7 octobre, les colons et le gouvernement israélien redoublent d’exactions pour faire partir les Palestiniens vivant dans ce village de la vallée de Masafer Yatta. Face aux attaques armées et aux démolitions de leurs maisons, les familles mettent tout en oeuvre pour rester sur leurs terres.