L'univers visible est-il une membrane qui flotte dans un espace de dimension supérieure ? Des physiciens explorent expérimentalement les dimensions supplémentaires afin d'unifier les forces de la nature.

Les noyaux de cette forme d'hydrogène furent créés dans les premiers instants de l'Univers. La détermination de sa quantité confirme l'existence de matière noire exotique.

L'histoire de la cosmologie primordiale, discipline récente qui étudie l'origine de l'Univers dans le cadre de la physique des particules élémentaires, illustre l'impact des changements sociologiques sur la science.

La Lune est soumise à des balancements réguliers autour d'une configuration d'équilibre stable.

L'Univers a connu, à ses débuts, une brève période d'expansion extrêmement rapide. Selon certains développements de la théorie des cordes, cette inflation résulterait de la collision de notre Univers avec d'autres, au sein d'un monde plus vaste et multidimensionnel.

L'expansion de l'Univers efface derrière elle les traces du Big Bang, tant et si bien que les cosmologistes d'un lointain futur se forgeraient une vision de l'histoire cosmique entièrement différente de la nôtre.

Un spectre hante l'Univers, celui de la masse cachée. Au cours des 25 dernières années de progrès astrophysiques, le débat sur sa nature a été alimenté par de nombreuses découvertes, mais le mystère demeure...

Aux informations gravées sur le rayonnement cosmologique fossile et déjà connues - son spectre et ses fluctuations -, s'ajoute sa polarisation, dont la mesure apporte de nouvelles informations sur l'Univers primordial.

L'application de la théorie des cordes à la cosmologie suggère que le Big Bang ne constitue pas le début de l'Univers, mais l'aboutissement d'un état cosmique antérieur.

Les basses de la musique céleste ne jouent pas la bonne partition ! Des discordances apparaissent entre la théorie et l'observation du fond diffus cosmologique.

La théorie des cordes va-t-elle bientôt s'imposer comme la description de l'Univers la plus satisfaisante ? A l'heure où se constitue en France le grand laboratoire Astroparticule et cosmologie et la veille de l'entrée en service, en 2007, du LHC, le puissant accélérateur de particules du Cern, la compréhension de l'Univers passe par un rapprochement entre physiciens et cosmologistes.