Dans l'arsenal du gouvernement Macron pour lutter contre les inégalités hommes-femmes en entreprise, il y a un nouvel outil encore peu utilisé en France: le name & shame. Comprendre : «dénoncer et faire honte». Mais ce n'est pas vraiment au point. Explication de texte.

C'est une affaire hors norme qui a eu des répercussions hors norme. Depuis les révélations sur le producteur Harvey Weinstein, les femmes n'en finissent plus de révéler le harcèlement et les agressions qu'elles ont subies, portées sur les réseaux sociaux #BalanceTonPorc ou #MeeToo. Une lame de fond moins soudaine qu'il n'y paraît. Depuis plusieurs années, la figure de la victime s'est effacée pour laisser place aux briseuses de silence. La tolérance a toute forme de sexisme recule. La honte a basculé du côté des agresseurs. Sommaire. Et la parole des femmes se libéra.

Dans le monde très machiste du flamenco, les femmes sont généralement cantonnées au chant et à la danse. Mais certaines guitaristes commencent, non sans difficultés, à ouvrir la voie.

Romancière et essayiste, la Nigériane Chimamanda Ngozi Adichie est devenue en peu de temps une sorte de rock-star du féminisme international. Invitée d'honneur de La Nuit des idées, elle est à Paris la semaine du 24 janvier 2018 pour une soirée exceptionnelle. Interview rare depuis Lagos.

Les frasques de Yaïr, le fils du Premier ministre israélien, commencent à sérieusement plomber l'avenir de son père et de son parti, le Likoud, dont l'électorat s'effrite désormais au profit de l'opposition.

Cette Palestinienne découvre sur le réseau social les vies de femmes tout aussi courageuses et tenaces qu’éloignées du modèle occidental auquel elle a toujours cru.

Alors que les journaux américains nomment des "gender editors", les médias français commencent tout juste à prendre en compte la perspective du genre : "Le Monde" vient d'adopter une grammaire plus égalitaire et de nombreux généralistes créent des verticales, telle "RTL Girls", consacrées à ce sujet.

Conçues par des hommes pour les hommes, nos cités modernes ne sont pas adaptées aux femmes. Mais cela commence à changer. Illustration dans une ville pionnière.

Les semaines de la mode de New York, Londres et Milan, qui ont ouvert le bal des collections automne-hiver 2018-2019, mettent en scène un futur plein de promesses où la femme reprend ses droits. Puissante et aguerrie.

Après un combat acharné, les femmes obtenaient enfin le droit de vote en Grande-Bretagne.

En dépit de la monstration médiatique des souffrances et violences sexuelles subies par les femmes de par le monde, via #MeToo, la prise de conscience d’une société égalitaire peine à s’entrevoir. Pour certains, les revendications d’égalité citoyenne susciteraient la crainte de perdre les privilèges que conférerait une société patriarcale. Sommaire. Féminisme et sexisme : comprendre les évolutions, éditorial. Le sexisme après le mouvement MeToo. Du refus de l’inégalité économique, sociale et psychique : une question de démocratie. L’émergence d’un nouveau féminisme.