Menaces, coups de bluff et rodomontades : Kim Jong-un et Donald Trump jouent avec le feu (nucléaire). Même si l'option militaire n'est pas la plus probable, un dérapage est toujours possible. Terrifiant...

Donald Trump est l'héritier, quoi qu'il en ait, d'une donne internationale profondément changée, qui représente un défi pour les Etats-Unis. Quelle réponse peut-il lui apporter? Tony Corn examine les options qui s'offrent à lui.

Il y aura pour Rod Rosenstein un avant et un après 9 mai 2017. Auparavant, il n'était qu'un juriste émérite à la carrière lisse et exemplaire, aussi enjoué qu'un manuel de droit administratif. Le 9 mai, il est devenu officiellement le facilitateur du limogeage hautement controversé du directeur de la police fédérale, James Comey.

C'est par le royaume wahhabite que le président américain a commencé sa première tournée diplomatique. A la clé, des contrats mirobolants... en échange d'une bienveillance complice.

JFK est le premier président des Etats-Unis à s'être intéressé à l'Afrique. A l'occasion du centenaire de sa naissance, retour sur une relation empathique... et pas toujours désintéressée.

Redistribution des cartes. Pour l'historien, l'incapacité de l'Amérique à penser à long terme profite à la Chine et à l'Europe.

La présidence de Donald Trump signe la fin de l'ordre mondial conduit par les Etats-Unis.

Jean Pavans enjoint ses lecteurs à relire Tocqueville. Une évidence qui semble s'imposer à l'heure où Donald Trump est installé à la Maison-Blanche.

Les menaces de "feu et de fureur" du président américain si Pyongyang continue ses provocations n’ont rien qui inspire la confiance, estime "The Altantic". Tandis qu’à Tokyo et Pékin la presse s’inquiète des gesticulations de la Maison-Blanche, la revue "The Diplomat" compare la Corée du Nord à la Chine maoïste quand celle-ci devenait une puissance nucléaire.

Donald Trump a annoncé – sans le chiffrer – un renforcement des troupes américaines en Afghanistan pour éradiquer talibans et terroristes. Pourtant, il n’élabore pas de plan de sortie du conflit et éveille l’hostilité d’Islamabad, s’inquiète ce journal pakistanais.

En tournant le dos à ses alliés, Washington sape son capital de confiance au Moyen-Orient au profit de Téhéran. Alors qu’Américains et Iraniens continuent à s’invectiver. Sommaire. L'abandon américain. Israël mise sur Poutine.

Un an déjà, et le président américain est toujours là. Et, contrastant avec les frasques du personnage, les résultats économiques sont plutôt bons.