L'approche “reptilienne” des relations internationales développée par Donald Trump est en train de faire des émules. Article extrait de "The Economist".

Il fait tanguer les partis politiques des pays étrangers, mais le plus souvent dans un sens contraire à celui attendu.

Alors que l’accord sur le nucléaire iranien arrive à son terme en octobre prochain, les pourparlers s’intensifient.

Les États-Unis sont confrontés à une déchirure identitaire qui a des répercutions sur l'Europe. Le revirement diplomatique de Washington, qui s'est rapproché de Moscou et qui discute avec la Russie, laisse sans voix les Européens qui ne savent plus quelle direction adopter.

Le 20 janvier 2025, Donald Trump entame un second mandat en tant que président des États-Unis en ayant déjà annoncé des éléments de sa politique internationale, notamment vis-à-vis de l'OTAN. Entre revendications territoriales, revirement sur la question ukrainienne et positionnements offensifs à l'égard des dépenses militaires des Européens, Washington place ses alliés historiques au pied du mur et les oblige à repenser leur défense.

Au cours des dernières semaines, la relance du dialogue entre les autorités américaines et le pouvoir russe a surpris, voire déstabilisé, nombre de capitales européennes. Des débats télévisés ressassent le soupçon d'une collusion entre des dirigeants que réunirait une commune idéologie conservatrice. Mais on peut s'influencer, s'admirer même, sans s'allier...

En leur réservant sa première visite officielle, le président américain a voulu les ramener dans l’orbite de Washington.

Enlisé dans une guerre d'usure, Kiev est plus que jamais dépendant des Occidentaux, dont la dynamique d'aide s'essouffle. 2024 s'annonce très difficile. Données chiffrées.

Soufflant le chaud et le froid avec Nétanyahou, Trump bouscule les règles des relations israélo-américaines. Au grand désarroi de l’État hébreu, observe cette politologue de Washington.

Le rapport 2025 du Renseignement américain paraîtra le 28 mai en France. Extraits et analyse en avant-première. Sommaire. Les nouvelles menaces mondiales vues par la CIA. Dérive : "Rarement le renseignement américain n'a été aussi politisé". "Sous Trump, le gros blues des espions".

Le Sénat américain a confirmé la nomination, le 19 mai, de Charles Kushner, père du gendre de Donald Trump, au poste d’ambassadeur des Etats-Unis en France. Ce magnat de l’immobilier avait été condamné, il y a vingt ans, pour des malversations, avant d’être gracié par le président lors de son premier mandat.

Les États-Unis et Haïti sont les deux faces d'un même continent, qui regardent cependant dans des directions diamétralement opposées. Comment les deux pays ont-ils interagi au fil du temps ?