Depuis belle lurette, le pays traîne sa dette colossale, délaisse son service public et des territoires entiers, voit son agriculture décliner. Mais des signes de faiblesse apparaissent même là où la France tirait son épingle du jeu : sa productivité stagne, son goût de l’effort s’émousse et son secteur du bâtiment se fissure. Des sujets plus importants que le casting du nouveau gouvernement. Sommaire. Les huit plaies économiques. Idées opportunes pour meilleur fortune. Quand notre pays se réveillait.

Comment endiguer l’implacable mécanique des ententes entre partis qui ouvre la porte à des décisions hors-sol.

Pour diminuer le déficit public et stabiliser la dette du pays, les écueils sont nombreux. Le Conseil d'analyse économique ouvre des pistes pour les contourner. Données chiffrées. Graphiques.

L'économie, abîmée par les crises (pandémie, guerre en Ukraine, inflation ... ) et sept années de politique macroniste, a un besoin urgent de soins. A commencer par un rétablissement des finances publiques, non acquis pour le moment. Infographie.

Pendant le confinement, Edouard Tétreau, consultant et essayiste, a réuni virtuellement un groupe de chefs d'entreprise, de responsables de syndicats et d'ONG pour travailler sur la sortie de crise.

Contre les renoncements et les lâchetés des politiques, notre éditorialiste publie "Sursaut" (L'Observatoire). Si Emmanuel Macron a poussé le pays jusqu'à la rupture, il n'est pas trop tard pour inverser la vapeur. Sommaire. Nicolas Baverez : "Nous ne pouvons plus ruser". Monsieur le Premier ministre, si vous osiez ... Paroles de (petits) patrons sous le choc ... fiscal. Les leçons de Daron Acemoglu.

La France a toujours été un pays à forte fiscalité et à fortes dépenses, alors pourquoi les choses ont-elles empiré ?

Insincérité ou cécité ? Tandis que les débats pour la loi de finances 2025 ont débuté à l'Assemblée, on peut légitimement se demander comment nous en sommes arrivés à un tel gouffre dans les comptes publics.

La dissolution a figé toute espérance de redressement substantiel des finances publiques.

Budget, transition écologique, école, santé... Le Premier ministre a du pain sur la planche. Passage en revue des dossiers les plus urgents à traiter.

Une ardoise de plus de 2 000 milliards d'euros, c'est grave docteur ? Pas si simple. Les taux d'intérêt sont à 0 % - voire négatifs ! L'Etat français doit en profiter pour investir, à condition de le faire pour le bien commun.

Pour sortir de la crise, les sociétés doivent remuscler leur structure financière. Le plan de relance, dont la présentation a été retardée de quelques jours, est censé les y aider.